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Critique de Aelynah
Iris a quitté Portland et confie sa petite soeur à sa tante après des événements dramatiques et traumatisants. Elle a besoin de tenter de se reconstruire une vie. Étudiante de 3e année en psycho elle choisit l'option ... pour l'aider à comprendre.
Tucker est le roi du campus. avec sa bande de potes ils se font appeler la Meute. C'est un gros macho qui semble réfléchir plus souvent avec sa queue qu'avec son cerveau. Pourtant il fait partie de ce même cours avec le Professeur Richards.
La rencontre de ces deux là va être explosive.
Il la veut , elle n'en a rien à battre.
Bon je ne suis pas adepte de ce genre de lecture. Mais on m'en a dit du bien et j'avais envie de me changer les idées avec un truc différent.
Le passé dramatique des deux protagonistes principaux que l'on va découvrir au fil des pages explique leur caractère fort. Surtout pour Iris en fait. Au vu de celui ci elle aurait très bien pu sombrer dans la dépression. Pourtant elle a tenu bon,pour elle mais surtout pour sa petite soeur Agnès.
Tucker est plus complexe. C'est un gosse de riche qui sait ce qu'il veut et en profite. Il a beau avoir un passif douloureux j'ai eu du mal à le trouver attachant. C'est un homme de cri-Magnon avec les femmes. Il veut Iris il fera donc tout pour l'avoir. Quitte à la forcer à entrer dans son jeu par des piques et des attaques verbales.
Et comme Iris ne se laisse pas faire et qu'il est sexy, elle se laisse prendre au jeu. Parce qu'il lui fournit malgré son caractère pourri de l'adrénaline et un sentiment de vie qu'elle n'a plus connu depuis des mois. Sans le savoir Il repousse les ténèbres du passé.
En fait ces deux là sont aussi cassés l'un que l'autre.
On aime les voir s'engueuler, se tourner autour et se titiller. Mais on aime aussi les voir s'inquiéter pour les autres, partager une solidarité de Meute pour Tucker ou faire preuve de grand coeur malgré leur caractère de chien ( ou plutôt de loup?).
Je n'en attendais pas plus qu'un bon moment de lecture, prête à le laisser en plan sans regret s'il ne me plaisait pas. Au final ces deux êtres torturés et leur relation « suis-moi je te fuis » et inversement m'ont plu. Ils ne sont ni blanc, ni noir mais pleins de nuances de gris qui vont parfois s'éclaircir vers un peu de lumière. Ils luttent entre eux, contre eux-mêmes aussi mais pour ceux qu'ils aiment surtout.
Je ne regrette absolument pas cette découverte.
Tucker est le roi du campus. avec sa bande de potes ils se font appeler la Meute. C'est un gros macho qui semble réfléchir plus souvent avec sa queue qu'avec son cerveau. Pourtant il fait partie de ce même cours avec le Professeur Richards.
La rencontre de ces deux là va être explosive.
Il la veut , elle n'en a rien à battre.
Bon je ne suis pas adepte de ce genre de lecture. Mais on m'en a dit du bien et j'avais envie de me changer les idées avec un truc différent.
Le passé dramatique des deux protagonistes principaux que l'on va découvrir au fil des pages explique leur caractère fort. Surtout pour Iris en fait. Au vu de celui ci elle aurait très bien pu sombrer dans la dépression. Pourtant elle a tenu bon,pour elle mais surtout pour sa petite soeur Agnès.
Tucker est plus complexe. C'est un gosse de riche qui sait ce qu'il veut et en profite. Il a beau avoir un passif douloureux j'ai eu du mal à le trouver attachant. C'est un homme de cri-Magnon avec les femmes. Il veut Iris il fera donc tout pour l'avoir. Quitte à la forcer à entrer dans son jeu par des piques et des attaques verbales.
Et comme Iris ne se laisse pas faire et qu'il est sexy, elle se laisse prendre au jeu. Parce qu'il lui fournit malgré son caractère pourri de l'adrénaline et un sentiment de vie qu'elle n'a plus connu depuis des mois. Sans le savoir Il repousse les ténèbres du passé.
En fait ces deux là sont aussi cassés l'un que l'autre.
On aime les voir s'engueuler, se tourner autour et se titiller. Mais on aime aussi les voir s'inquiéter pour les autres, partager une solidarité de Meute pour Tucker ou faire preuve de grand coeur malgré leur caractère de chien ( ou plutôt de loup?).
Je n'en attendais pas plus qu'un bon moment de lecture, prête à le laisser en plan sans regret s'il ne me plaisait pas. Au final ces deux êtres torturés et leur relation « suis-moi je te fuis » et inversement m'ont plu. Ils ne sont ni blanc, ni noir mais pleins de nuances de gris qui vont parfois s'éclaircir vers un peu de lumière. Ils luttent entre eux, contre eux-mêmes aussi mais pour ceux qu'ils aiment surtout.
Je ne regrette absolument pas cette découverte.
