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Critique de lecassin


« On choisit pas sa famille », comme dirait Maxime... évident...
Une lecture de confinement, « Transatlantique », et l'évidence se fait moins nette : Alexandra, fille de la sulfureuse Dorothy Arlington Holden Pope, et mannequin new-yorkais, se découvre un père, écrivain à succès vivant à Paris, Victor Gauthier, qui ignore jusqu'à l'existence de cette fille née d'un amour de jeunesse...
L'atlantique qui les sépare ne sera bien longtemps un obstacle à leurs retrouvailles. Restera à se découvrir, à se reconnaître, à se connaître, à s'accepter, à s'adopter...

Dans cette pièce de théâtre en trois actes, Michel Rio n'a pas son pareil pour décrire la relation amoureuse, tant celle amant-maîtresse que celle père-fille...
On ne choisit pas sa famille... A moins que...⁷

Une pièce rythmée par des personnages secondaires hauts en couleurs.
« Transatlantique » est ma quatorzième lecture de Michel Rio, et certainement pas la dernière. Un sens de la formule dans une langue parfaite, sans excès. Les mots frappent juste, sans fioritures inutiles... Ah, peut-être un petit bémol, pour cette courte pièce : des didascalies un peu envahissantes.
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