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Critique de florencem
Mes craintes étaient bien fondées malheureusement… J'avais encore quelques doutes après ma lecture du Fils de Neptune, mais ce sont bien les nouveaux narrateurs découverts dans le premier tome auxquels je n'arrive décidément pas à accrocher… Autant Hazel et Franck, rien à redire, autant Jason et Piper me laissent hermétique au possible… J'ai tout de même passé un bon moment de lecture avec La marque d'Athéna, mais l'entrain n'était pas le même.
Il y a aussi beaucoup de personnages principaux à couvrir dans ce tome trois des Héros de l'Olympe. Sept héros avec une présence très forte et oui, il est difficile de laisser de la place à tout le monde et d'avoir un développement psychologique assez abouti, surtout que les missions continuent de s'enchaîner. Globalement, je suis frustrée parce que à de nombreuses reprises, j'aurais voulu en apprendre plus, voir certains points être beaucoup plus exploités. Et je ne vais pas mettre en avant le fait que ce soit de la littérature jeunesse. Ce n'est pas « une excuse » pour moi. Avec cinq tomes au total, je me dis d'ailleurs qu'un peu moins d'action, et un peu plus de personnages auraient pu facilement donner un meilleur équilibre.
Parce que oui, j'ai eu le sentiment d'être ballotée de droite et de gauche, de courir un marathon, d'être en apnée. C'est plutôt sympathique pour un univers comme celui des Héros de l'Olympe, surtout que nous sommes dans une course poursuite contre la montre et que le monde est en grand danger. Mais parfois, pouvoir reprendre son souffle, c'est bien aussi. Les prophéties à gogo qui annoncent des malheurs à répétition, les ennemis qui se font de plus en plus nombreux, et les alliés aux abonnés absents, cela fait beaucoup à digérer pour le lecteur. Oui, nous sommes carrément dans la veine des épopées gréco-romaines des héros mais… Ayez pitié de nos héros quand même !
Il y a aussi ce manque de camaraderie. Je m'attendais à une avancée un peu plus rapide à ce niveau-là aussi. Quand on voit comme les deux groupes dans les tomes un et deux ont rapidement su mettre en place une bonne dynamique, je m'attendais à voir se reproduire ce schéma. Et là… j'ai plus vu les mésententes et les tensions. Encore une fois, il y a de fortes personnalités et tout ne pouvait pas rouler tout seul mais… c'est un peu comme s'ils n'avaient pas en tête que le monde dépendait d'eux et qu'ils devaient penser avant tout à coopérer. Il n'y a que Franck et Annabeth qui ont su sortir du lot pour moi.
La Marque d'Athéna n'en reste pas moins un très bon roman d'aventures. Nous découvrons encore beaucoup de nouveaux personnages des mythologies gréco-romaines, la distension entre les deux patries est encore super bien gérée, on ne s'ennuie pas une seule seconde, et on sent la tension monter de plus en plus. Il est aussi très sympathique d'avoir cette fois-ci une histoire qui s'étend sur les cinq tomes et pas une intrigue par volume. le fil conducteur est bien ancré et je trouve que l'univers est ainsi encore mieux exploité.
Le quatrième tome semble par contre très prometteur, mais je ne pense pas poursuivre l'aventure. J'ai l'impression de me forcer à lire ces nouvelles aventures et ce n'est pas ce que je recherche dans mes lectures. Je vais donc arrêter ici.
Il y a aussi beaucoup de personnages principaux à couvrir dans ce tome trois des Héros de l'Olympe. Sept héros avec une présence très forte et oui, il est difficile de laisser de la place à tout le monde et d'avoir un développement psychologique assez abouti, surtout que les missions continuent de s'enchaîner. Globalement, je suis frustrée parce que à de nombreuses reprises, j'aurais voulu en apprendre plus, voir certains points être beaucoup plus exploités. Et je ne vais pas mettre en avant le fait que ce soit de la littérature jeunesse. Ce n'est pas « une excuse » pour moi. Avec cinq tomes au total, je me dis d'ailleurs qu'un peu moins d'action, et un peu plus de personnages auraient pu facilement donner un meilleur équilibre.
Parce que oui, j'ai eu le sentiment d'être ballotée de droite et de gauche, de courir un marathon, d'être en apnée. C'est plutôt sympathique pour un univers comme celui des Héros de l'Olympe, surtout que nous sommes dans une course poursuite contre la montre et que le monde est en grand danger. Mais parfois, pouvoir reprendre son souffle, c'est bien aussi. Les prophéties à gogo qui annoncent des malheurs à répétition, les ennemis qui se font de plus en plus nombreux, et les alliés aux abonnés absents, cela fait beaucoup à digérer pour le lecteur. Oui, nous sommes carrément dans la veine des épopées gréco-romaines des héros mais… Ayez pitié de nos héros quand même !
Il y a aussi ce manque de camaraderie. Je m'attendais à une avancée un peu plus rapide à ce niveau-là aussi. Quand on voit comme les deux groupes dans les tomes un et deux ont rapidement su mettre en place une bonne dynamique, je m'attendais à voir se reproduire ce schéma. Et là… j'ai plus vu les mésententes et les tensions. Encore une fois, il y a de fortes personnalités et tout ne pouvait pas rouler tout seul mais… c'est un peu comme s'ils n'avaient pas en tête que le monde dépendait d'eux et qu'ils devaient penser avant tout à coopérer. Il n'y a que Franck et Annabeth qui ont su sortir du lot pour moi.
La Marque d'Athéna n'en reste pas moins un très bon roman d'aventures. Nous découvrons encore beaucoup de nouveaux personnages des mythologies gréco-romaines, la distension entre les deux patries est encore super bien gérée, on ne s'ennuie pas une seule seconde, et on sent la tension monter de plus en plus. Il est aussi très sympathique d'avoir cette fois-ci une histoire qui s'étend sur les cinq tomes et pas une intrigue par volume. le fil conducteur est bien ancré et je trouve que l'univers est ainsi encore mieux exploité.
Le quatrième tome semble par contre très prometteur, mais je ne pense pas poursuivre l'aventure. J'ai l'impression de me forcer à lire ces nouvelles aventures et ce n'est pas ce que je recherche dans mes lectures. Je vais donc arrêter ici.
