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Critique de florencem
Si vous saviez comment je suis déçue de ne pas avoir aimé Bienvenue à Salem… Surtout que ma précédente lecture avait aussi été une déception. Et pourtant, il y avait tous les éléments pour me plaire, et j'étais super contente de commencer cette nouvelle saga d'urban fantasy… Mais parfois, la sauce ne prend pas… J'ai lu de nombreuses critiques positives, donc je me console en me disant que le roman a trouvé son lectorat et c'est tant mieux.
Il est vraiment très rare que je mette une note aussi mauvaise à un roman… mais là, vraiment, rien n'allait pour moi. Ni le style, ni l'histoire, ni l'héroïne. Difficile donc de se prendre au jeu, et pourtant, encore une fois, j'étais partie très enthousiaste avec Bienvenue à Salem.
Alors malheureusement je vais faire une liste de ce que je n'ai pas aimé… en essayant de ne pas être trop méchante même si l'exercice semble compliqué. J'ai très vite tiqué avec la mère de notre héroïne Avery. Elle était en boucle et un peu énervante… et là je me suis dit que si un personnage qui avait quand même une grande place dans la vie de la jeune femme était dépeint de la sorte… le reste risquait d'avoir le même traitement. Et cela n'a pas loupé. J'ai eu l'impression de lire l'histoire d'une adolescente de quinze / seize ans, écrit comme si l'auteur avait aussi cet âge. Des phrases toutes faites, des réactions souvent puériles… Ce n'est pas le genre d'héroïne que je cherche.
Avery est aussi très vite décrédibilisée. Je veux dire l'auteur nous répète quand même plusieurs fois que c'est grâce aux séries qu'elle a regardées qu'Avery agit de telle façon ou telle façon. Même son embauche ne tient pas la route. Et beaucoup de situations m'ont paru très ridicules. Les références de pop culture à gogo faisaient trop, les descriptions de la gent masculine l'impression d'hormones en folie, trop d'alliés masculins (les ma belle à répétition non merci), des répliques dignes d'une mauvaise série télé, des descriptions de lieux de parfois plusieurs pages… Pour moi, tout cela était très rébarbatif.
Quant à l'univers, il se veut « horrifique » en un sens, mais je n'y ai pas cru une seconde. Il faut dire qu'il y a beaucoup de dialogues et de pensées qui cassent l'ambiance… Avery est aussi censée ne pas croire au surnaturel et très vite, les personnages qu'elle rencontre lui laissent entendre que les sorcières existent et elle doute assez facilement. Les dits-sorciers qui sont censés faire attention laissent beaucoup trop de traces aussi. Pour des méchants manipulateurs et machiavéliques, on repassera.
C'était peut-être un choix délibéré, je ne sais pas, mais j'ai eu très souvent l'impression de lire une comédie qui se moquait du genre urban fantasy. Loin de ce que je recherchais, vous vous en doutez. Mais encore une fois, Bienvenue à Salem semble avoir trouvé son public, donc laissez-lui une chance s'il vous tente. Il n'était juste pas fait pour moi.
Il est vraiment très rare que je mette une note aussi mauvaise à un roman… mais là, vraiment, rien n'allait pour moi. Ni le style, ni l'histoire, ni l'héroïne. Difficile donc de se prendre au jeu, et pourtant, encore une fois, j'étais partie très enthousiaste avec Bienvenue à Salem.
Alors malheureusement je vais faire une liste de ce que je n'ai pas aimé… en essayant de ne pas être trop méchante même si l'exercice semble compliqué. J'ai très vite tiqué avec la mère de notre héroïne Avery. Elle était en boucle et un peu énervante… et là je me suis dit que si un personnage qui avait quand même une grande place dans la vie de la jeune femme était dépeint de la sorte… le reste risquait d'avoir le même traitement. Et cela n'a pas loupé. J'ai eu l'impression de lire l'histoire d'une adolescente de quinze / seize ans, écrit comme si l'auteur avait aussi cet âge. Des phrases toutes faites, des réactions souvent puériles… Ce n'est pas le genre d'héroïne que je cherche.
Avery est aussi très vite décrédibilisée. Je veux dire l'auteur nous répète quand même plusieurs fois que c'est grâce aux séries qu'elle a regardées qu'Avery agit de telle façon ou telle façon. Même son embauche ne tient pas la route. Et beaucoup de situations m'ont paru très ridicules. Les références de pop culture à gogo faisaient trop, les descriptions de la gent masculine l'impression d'hormones en folie, trop d'alliés masculins (les ma belle à répétition non merci), des répliques dignes d'une mauvaise série télé, des descriptions de lieux de parfois plusieurs pages… Pour moi, tout cela était très rébarbatif.
Quant à l'univers, il se veut « horrifique » en un sens, mais je n'y ai pas cru une seconde. Il faut dire qu'il y a beaucoup de dialogues et de pensées qui cassent l'ambiance… Avery est aussi censée ne pas croire au surnaturel et très vite, les personnages qu'elle rencontre lui laissent entendre que les sorcières existent et elle doute assez facilement. Les dits-sorciers qui sont censés faire attention laissent beaucoup trop de traces aussi. Pour des méchants manipulateurs et machiavéliques, on repassera.
C'était peut-être un choix délibéré, je ne sais pas, mais j'ai eu très souvent l'impression de lire une comédie qui se moquait du genre urban fantasy. Loin de ce que je recherchais, vous vous en doutez. Mais encore une fois, Bienvenue à Salem semble avoir trouvé son public, donc laissez-lui une chance s'il vous tente. Il n'était juste pas fait pour moi.
