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Critique de karmemma
Alors évidemment, je ne vais pas être totalement objective vis-à-vis de ce recueil, puisque j'ai écrit dedans ;-) Néanmoins, il me tient à coeur de dire quelque chose au sujet des autres nouvelles qui le composent et que j'ai trouvées excellentes pour la plupart.
Le défi était de taille : comment renouveler le genre du BDSM, écrire nos fantasmes de domination et de soumission au féminin, dans une époque qui a ouvert les yeux sur les violences subies par les femmes (et la gueule de bois est douloureuse...)
Eh bien vous trouverez entre ces pages de quoi vous réconcilier avec le genre si, comme moi, vous lui aviez quelque peu tourné le dos. On rit, on serre les dents, on soupire de soulagement ou on grince les dents de frustration... en tout cas on renoue avec ce qui est si génial dans le BDSM : sa totale liberté.
Le précédent recueil de la Musardine, Indécentes, m'avait laissé un goût doux-amer. Celui-ci m'a plutôt "donné un coup de fouet" (lol, il fallait la faire !)
Le défi était de taille : comment renouveler le genre du BDSM, écrire nos fantasmes de domination et de soumission au féminin, dans une époque qui a ouvert les yeux sur les violences subies par les femmes (et la gueule de bois est douloureuse...)
Eh bien vous trouverez entre ces pages de quoi vous réconcilier avec le genre si, comme moi, vous lui aviez quelque peu tourné le dos. On rit, on serre les dents, on soupire de soulagement ou on grince les dents de frustration... en tout cas on renoue avec ce qui est si génial dans le BDSM : sa totale liberté.
Le précédent recueil de la Musardine, Indécentes, m'avait laissé un goût doux-amer. Celui-ci m'a plutôt "donné un coup de fouet" (lol, il fallait la faire !)
