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Critique de Lunaire
Je referme tout juste ce livre. Je vous fait ma critique à chaud. Je vais essayer d'organiser tout ça.
Alors, j'avais d'abord vu le film, avant de vouloir lire le livre. Comme c'est souvent mon cas, pourtant je l'avais croisé sur les rayons des librairies.
C'est un roman policier sur fond historique. Sur le plan historique bravo à T.Rob Smith, l'auteur nous en dit assez pour qu'on puisse comprendre, sans être trop lourd. Libre au lecteur par la suite de s'intéresser plus avant.
De nombreuses points commun avec le film, dans la première partie du roman. Beaucoup de fausse pistes. Puisque dans la deuxième partie du roman le tournant est donner et plus rien ne correspond. Je ne félicite pas (encore une fois) les scénariste qui pour faire tenir en deux heures et demi un livre si complexe choisissent comme d'habitude le lien amoureux du couple. Passons.
C'est surtout l'histoire d'un homme dévoué à son métier, son parti.. Il n'a pas vraiment le choix au final et se rend vite compte que tout ça est bancal, ne tient a rien d'autres qu'à des effectifs. Mais il se rend bien vite compte que ce n'est qu'un pion. Qu'il n'a plus rien d'humain et cesse de remettre en cause tout au long du livre ce qu'il a été en temps que membre du MGB. Il se rend vite compte que pour le "bien" il ne vaut finalement mieux que l'homme qu'il traque.
C'est aussi l'histoire d'une femme, personnage important, très important. Qui n'est pas idéaliste de la politique de son pays mais qui doit s'y tenir. Apprendre aux enfants desquels elle est l'enseignante que rien ne peux arriver au pays du "petit père du peuple".
C'est l'histoire d'un exil durant lequel ils s'apprennent, eux deux et eux même. C'est presque un roman que l'on pourrait qualifier de parcours initiatique.
Alors, j'avais d'abord vu le film, avant de vouloir lire le livre. Comme c'est souvent mon cas, pourtant je l'avais croisé sur les rayons des librairies.
C'est un roman policier sur fond historique. Sur le plan historique bravo à T.Rob Smith, l'auteur nous en dit assez pour qu'on puisse comprendre, sans être trop lourd. Libre au lecteur par la suite de s'intéresser plus avant.
De nombreuses points commun avec le film, dans la première partie du roman. Beaucoup de fausse pistes. Puisque dans la deuxième partie du roman le tournant est donner et plus rien ne correspond. Je ne félicite pas (encore une fois) les scénariste qui pour faire tenir en deux heures et demi un livre si complexe choisissent comme d'habitude le lien amoureux du couple. Passons.
C'est surtout l'histoire d'un homme dévoué à son métier, son parti.. Il n'a pas vraiment le choix au final et se rend vite compte que tout ça est bancal, ne tient a rien d'autres qu'à des effectifs. Mais il se rend bien vite compte que ce n'est qu'un pion. Qu'il n'a plus rien d'humain et cesse de remettre en cause tout au long du livre ce qu'il a été en temps que membre du MGB. Il se rend vite compte que pour le "bien" il ne vaut finalement mieux que l'homme qu'il traque.
C'est aussi l'histoire d'une femme, personnage important, très important. Qui n'est pas idéaliste de la politique de son pays mais qui doit s'y tenir. Apprendre aux enfants desquels elle est l'enseignante que rien ne peux arriver au pays du "petit père du peuple".
C'est l'histoire d'un exil durant lequel ils s'apprennent, eux deux et eux même. C'est presque un roman que l'on pourrait qualifier de parcours initiatique.
