>
Critique de Kenehan
Sobrement intitulée « Felix Leiter », cette mini-série se focalise sur le personnage éponyme régulièrement croisé dans l'univers bondien. Notamment ex-agent de la CIA et ami de James Bond, il a fait les frais de Mr Big dans « Live and Let Die ». le comics reprend le personnage tel quel, amputés de deux de ses membres. Cette amputation est compensée par un cadeau de Bond suite aux aventures de ce dernier dans « Vargr » où le big bad mettait au point des prothèses dernier cri.
Sollicité à Tokyo, il est sur les traces d'une ancienne partenaire et conquête des services russes. Très clairement, celle-ci n'a jamais quitté son esprit. On ne peut pas dire que l'inverse soit vrai… Simultanément, une attaque terroriste frappe la ville. L'occasion pour Leiter d'apporter son aide et son expérience à son commanditaire : Tiger Tanaka.
Si le tome se centre sur Felix Leiter, Tiger Tanaka est également présent pendant une bonne partie du récit. Un duo qui permet de développer ces deux personnages connus des fans en l'absence de Bond. Ce dernier n'est pourtant pas absent, maintenu en une sorte de guest star par le biais des réminiscences de Leiter mais aussi de son admiration pour 007. Leiter est un personnage brisé, qui se perçoit comme amoindri et faible. le rejet et la dureté d'Alena Davoff, qu'il aime, n'aide en rien ce dernier. On est donc à l'opposé de l'assurance et de l'efficacité de James Bond.
Le récit est pas mal mais semble un peu longuet, peut-être justement à cause de l'auto-apitoiement de Leiter. Heureusement, la présence de Tanaka empêche qu'une certaine mollesse ne s'installe.
Sollicité à Tokyo, il est sur les traces d'une ancienne partenaire et conquête des services russes. Très clairement, celle-ci n'a jamais quitté son esprit. On ne peut pas dire que l'inverse soit vrai… Simultanément, une attaque terroriste frappe la ville. L'occasion pour Leiter d'apporter son aide et son expérience à son commanditaire : Tiger Tanaka.
Si le tome se centre sur Felix Leiter, Tiger Tanaka est également présent pendant une bonne partie du récit. Un duo qui permet de développer ces deux personnages connus des fans en l'absence de Bond. Ce dernier n'est pourtant pas absent, maintenu en une sorte de guest star par le biais des réminiscences de Leiter mais aussi de son admiration pour 007. Leiter est un personnage brisé, qui se perçoit comme amoindri et faible. le rejet et la dureté d'Alena Davoff, qu'il aime, n'aide en rien ce dernier. On est donc à l'opposé de l'assurance et de l'efficacité de James Bond.
Le récit est pas mal mais semble un peu longuet, peut-être justement à cause de l'auto-apitoiement de Leiter. Heureusement, la présence de Tanaka empêche qu'une certaine mollesse ne s'installe.
