Prêcheur et réformateur inconditionnel d'une société trop vaniteuse et artificielle.
Contre la corruption d'âme et de moeurs d'un temps où l'art se faisait monnaie, un homme s'érige.
Un seul, un dominicain. Père fondateur du bûcher des vanités qui anéantira dans son obscurantisme, tant d'oeuvre d'art et de témoignages d'un irrévocable passé de guerres et de découvertes.
De Ferrare à Bologne en passant par Florence, de Saint Marie des anges, de ruina mundi deviendra l'écho de cette âme qui s'assombrira jusqu'à ce 23 mai 1498 sur ce bûcher florentin.
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