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Critique de Hiromichi
Nous avions fait la connaissance de Stefan dans le volume précédent, jumeau d'Edmond, un homme plus renfermé, avec sur les épaules le lourd titre de duc d'Huntley. On découvrira ici toute la profondeur de sa personnalité, un homme implacable qui ne peut supporter qu'on lui résiste avec en plus une possessivité des plus fortes.
Mais nous faisons aussi la rencontre d'une jeune femme embarquée dans une chasse aux lettres contenant des secrets intimes du tsar Alexandre Pavlovitch, son père.
De ce fait, la jolie Leonida Karkoff se retrouve à jouer les exploratrices sur le domaine de Meadowland en s'imposant aux Summerville, bien que cachant ses réelles intentions, Stefan n'est pas dupe et devine que la jouvencelle a des projets bien différents de ceux qu'elle présente. Cependant, il ne se doutait pas que tout le charme de la demoiselle lui ferait perdre la tête.
Ce second volume est beaucoup plus riche en aventure que le premier, il nous fait voyager dans plusieurs contrées et nous fait vivre une véritable course-poursuite.
Leonida nous est peinte comme une femme pleine de ressources, forte ayant une loyauté et un courage sans borne. On comprend parfaitement son fonctionnement et il semble des plus logiques bien qu'elle se laisse aller à ses désirs physiques.
Stefan par contre est certes un homme fascinant mais complètement obsédé. Il est d'une possessivité sans borne, il irritera un peu mais ce n'est pas un homme qui a l'habitude d'être dominer par ses sentiments, les multiples personnages qu'il rencontrera le souligneront, notamment ce cher Boris qui l'accompagnera et qui se montre toujours autant spirituel lorsqu'il s'agit des femmes.
Malgré quelques petites longueurs, ce volume est très riche, on découvre des personnages tout à fait fascinant comme Dimitri Tipova alias le tsar des Mendiants qui possède sa propre histoire, mais aussi des serviteurs dévoués et très sympathiques comme Sophy ou Piotr, ainsi que des retrouvailles plaisantes que l'on peut avoir avec Vanya.
Voici une vision plus poussée de la Russie et de son monde mondain, une plume toujours très agréable et une histoire forte en passion !
Un second volume aussi délicieux que le premier.
Lien : http://www.onirik.net/L-intr..
Mais nous faisons aussi la rencontre d'une jeune femme embarquée dans une chasse aux lettres contenant des secrets intimes du tsar Alexandre Pavlovitch, son père.
De ce fait, la jolie Leonida Karkoff se retrouve à jouer les exploratrices sur le domaine de Meadowland en s'imposant aux Summerville, bien que cachant ses réelles intentions, Stefan n'est pas dupe et devine que la jouvencelle a des projets bien différents de ceux qu'elle présente. Cependant, il ne se doutait pas que tout le charme de la demoiselle lui ferait perdre la tête.
Ce second volume est beaucoup plus riche en aventure que le premier, il nous fait voyager dans plusieurs contrées et nous fait vivre une véritable course-poursuite.
Leonida nous est peinte comme une femme pleine de ressources, forte ayant une loyauté et un courage sans borne. On comprend parfaitement son fonctionnement et il semble des plus logiques bien qu'elle se laisse aller à ses désirs physiques.
Stefan par contre est certes un homme fascinant mais complètement obsédé. Il est d'une possessivité sans borne, il irritera un peu mais ce n'est pas un homme qui a l'habitude d'être dominer par ses sentiments, les multiples personnages qu'il rencontrera le souligneront, notamment ce cher Boris qui l'accompagnera et qui se montre toujours autant spirituel lorsqu'il s'agit des femmes.
Malgré quelques petites longueurs, ce volume est très riche, on découvre des personnages tout à fait fascinant comme Dimitri Tipova alias le tsar des Mendiants qui possède sa propre histoire, mais aussi des serviteurs dévoués et très sympathiques comme Sophy ou Piotr, ainsi que des retrouvailles plaisantes que l'on peut avoir avec Vanya.
Voici une vision plus poussée de la Russie et de son monde mondain, une plume toujours très agréable et une histoire forte en passion !
Un second volume aussi délicieux que le premier.
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