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Critique de gau_hier
Ce livre est un peu comme un cariste dans une usine géante.
L'usine géante est notre cerveau, ce livre cherche, trie, sélectionne et transforme nos pensées. Après 500 pages lues, les pensées sont en ordre, la "théorie" se revête en "pratique", la procrastination n'est plus qu'un vulgaire mot appartenant à d'autres.
17 ans, lycéen : Pendant que ma prof d'Anglais récitait son cours, je lisais avec acharnement mon nouveau prof d'ambition : Mr Olivier Roland. Quel meilleur endroit que le lycée pour la lecture de "Tout le monde n'a pas eu la chance de rater ses études" ? La voix du professeur sonne comme une petite mélodie en fond sonore, la chaleur émanant de 30 corps fait naître une température quelque peu ambiante... Tout ça sous les prodigieux conseils d'un professeur 2.0.
Ce livre m'a fait comprendre le sens profond des mots de Jean Cocteau : "A l'impossible je suis tenu" car maintenant, grâce à Olivier Roland, je suis tenu, et même accroché à l'impossible.
L'usine géante est notre cerveau, ce livre cherche, trie, sélectionne et transforme nos pensées. Après 500 pages lues, les pensées sont en ordre, la "théorie" se revête en "pratique", la procrastination n'est plus qu'un vulgaire mot appartenant à d'autres.
17 ans, lycéen : Pendant que ma prof d'Anglais récitait son cours, je lisais avec acharnement mon nouveau prof d'ambition : Mr Olivier Roland. Quel meilleur endroit que le lycée pour la lecture de "Tout le monde n'a pas eu la chance de rater ses études" ? La voix du professeur sonne comme une petite mélodie en fond sonore, la chaleur émanant de 30 corps fait naître une température quelque peu ambiante... Tout ça sous les prodigieux conseils d'un professeur 2.0.
Ce livre m'a fait comprendre le sens profond des mots de Jean Cocteau : "A l'impossible je suis tenu" car maintenant, grâce à Olivier Roland, je suis tenu, et même accroché à l'impossible.
