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Critique de Mimimelie
In fine, pour ma part, je n'achèterai pas ce livre. Je viens de visiter une exposition consacrée à ce peintre où il était présenté : quelques pages seulement d'informations sur l'artiste, et pour le reste qui constitue l'essentiel, la reproduction de ses oeuvres pleines pages. de ce fait, je préfère compléter ma découverte de cet artiste en me rendant à Monesties où un musée lui est consacré (magnifique village par ailleurs d'après ce qu'on m'en a dit), à peine à une demi-heure de chez moi et qui me permettra par la même occasion de découvrir les oeuvres de sa femme Martine VEGA.
Mais je ne voudrais pas décourager les lecteurs de découvrir ce peintre Espagnol qui, fuyant le régime franquiste est venu s'installer en Albigeois (en 1939) car son oeuvre, certes influencée par le mouvement cubiste et le mouvement figuratif, m'est apparue tout à fait singulière et sa manière très personnelle.
On l'appelle volontiers le peintre du silence car ses personnages, les yeux fermés, laissent deviner une vie intérieure, et semblent silencieux et méditatifs.
Francisco Bajèn est décédé à Albi, où il avait son atelier, le 29 août 2014, à l'âge de 102 ans.
Mais je ne voudrais pas décourager les lecteurs de découvrir ce peintre Espagnol qui, fuyant le régime franquiste est venu s'installer en Albigeois (en 1939) car son oeuvre, certes influencée par le mouvement cubiste et le mouvement figuratif, m'est apparue tout à fait singulière et sa manière très personnelle.
On l'appelle volontiers le peintre du silence car ses personnages, les yeux fermés, laissent deviner une vie intérieure, et semblent silencieux et méditatifs.
Francisco Bajèn est décédé à Albi, où il avait son atelier, le 29 août 2014, à l'âge de 102 ans.
