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Critique de Madurba
Buzz, au titre original "The art of immersion" traite de l'évolution de la communication à travers différents médias, de sa genèse à nos jours.
Très bien documenté, l'auteur (journaliste pour le compte de grands médias tels que le New York Times et Wired entre autres) nous plonge dans les coulisses des plus grandes entreprises numériques, vidéoludiques et cinématographiques actuelles. Tout ce qui est en rapport à une forme d'expression dans le domaine du divertissement est abordé, cinéma, chaînes de télévision, jeux vidéos, réseaux sociaux où encore nouveaux défis des agences de communications.
Du roman de D.Defoe "Robinson Crusoé" à Avatar, notre soif -d'un point de vue consommateur - d'immersion, d'interaction, d'univers multiples se dévoile au fil des pages. Les problématiques qu'amènent la révolution numérique aux grands groupes médias de masses sont détaillés. le futur de ces formes de divertissements y est interrogé.
De nombreuses anecdotes et interviews de grands patrons, de réalisateurs, de développeurs… sont présente continument dans ce livre.
La rédaction est agréable bien que la traduction française laisse à désirer épisodiquement (coquille, syntaxe).
Le contenu du livre est captivant, mais je trouve personnellement que quelques passages n'ont pas lieu d'être et n'apportent rien au sujet, ce qui peut créer quelques longeurs.
Par contre, un point faible pour ce reportage, qui m'a valu de nombreux coups de sangs pendant ma lecture, est le spoiler ! L'auteur « déballe » sur le déroulement et la fin de plusieurs oeuvres (notamment la série Lost, le film Mulholland Drive et quelques jeux vidéos…). le problème est que cela n'apporte vraiment rien à l'argumentaire, il balance simplement la fin des séries, films ou autres sans que cela ne soit justifié…
Dans l'ensemble je recommande la lecture de ce livre, le côté making of des films, séries où des jeux vidéos est plaisant et on y apprends beaucoup sur le milieu de la publicité. La théorie qui prend forme sur le devenir de tous ces médias est intéressante.
Très bien documenté, l'auteur (journaliste pour le compte de grands médias tels que le New York Times et Wired entre autres) nous plonge dans les coulisses des plus grandes entreprises numériques, vidéoludiques et cinématographiques actuelles. Tout ce qui est en rapport à une forme d'expression dans le domaine du divertissement est abordé, cinéma, chaînes de télévision, jeux vidéos, réseaux sociaux où encore nouveaux défis des agences de communications.
Du roman de D.Defoe "Robinson Crusoé" à Avatar, notre soif -d'un point de vue consommateur - d'immersion, d'interaction, d'univers multiples se dévoile au fil des pages. Les problématiques qu'amènent la révolution numérique aux grands groupes médias de masses sont détaillés. le futur de ces formes de divertissements y est interrogé.
De nombreuses anecdotes et interviews de grands patrons, de réalisateurs, de développeurs… sont présente continument dans ce livre.
La rédaction est agréable bien que la traduction française laisse à désirer épisodiquement (coquille, syntaxe).
Le contenu du livre est captivant, mais je trouve personnellement que quelques passages n'ont pas lieu d'être et n'apportent rien au sujet, ce qui peut créer quelques longeurs.
Par contre, un point faible pour ce reportage, qui m'a valu de nombreux coups de sangs pendant ma lecture, est le spoiler ! L'auteur « déballe » sur le déroulement et la fin de plusieurs oeuvres (notamment la série Lost, le film Mulholland Drive et quelques jeux vidéos…). le problème est que cela n'apporte vraiment rien à l'argumentaire, il balance simplement la fin des séries, films ou autres sans que cela ne soit justifié…
Dans l'ensemble je recommande la lecture de ce livre, le côté making of des films, séries où des jeux vidéos est plaisant et on y apprends beaucoup sur le milieu de la publicité. La théorie qui prend forme sur le devenir de tous ces médias est intéressante.
