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Critique de MarionJL
Cette pièce a été créée par Sarah Bernardt au théâtre de la Renaissance en 1899. C'est en fait un évangile en trois tableaux. Ce sous-titre m'a interpellée et je suis allée voir la définition d'un évangile : “un évangile est un écrit qui relate la vie et l'enseignement de Jésus de Nazareth”. Cette pièce de théâtre retrace bien un épisode de la vie de Jésus, sa rencontre avec la samaritaine Photine (décrite dans l'évangile de St Jean).
Le but semble surtout de partager sa vision de la religion et sa lecture des évangiles qui rappellent que les préceptes de la religion catholique sont l'amour du prochain, le pardon et la tolérance (des vertus souvent absentes j'imagine dans la pratique de ses contemporains) et que seuls ceux touchés par la foi en font vraiment preuve (les disciples en particulier n'arrivent pas à montrer ces vertus). La pièce de théâtre est ainsi assez étonnante car elle semble tourner vers une élévation spirituelle des spectateurs, ce qui n'est absolument pas l'image que j'avais du théâtre à cette époque-là.
J'ai beaucoup aimé les tirades en particuliers de Photine qui semble enfler, tout comme la foule qu'elle draine pour aller voir le messie. Une lecture que j'ai trouvé intéressante et divertissante et qui m'a plus marqué que la lecture de la princesse lointaine de Edmond de Rostand aussi et que j'ai faite juste avant.
Le but semble surtout de partager sa vision de la religion et sa lecture des évangiles qui rappellent que les préceptes de la religion catholique sont l'amour du prochain, le pardon et la tolérance (des vertus souvent absentes j'imagine dans la pratique de ses contemporains) et que seuls ceux touchés par la foi en font vraiment preuve (les disciples en particulier n'arrivent pas à montrer ces vertus). La pièce de théâtre est ainsi assez étonnante car elle semble tourner vers une élévation spirituelle des spectateurs, ce qui n'est absolument pas l'image que j'avais du théâtre à cette époque-là.
J'ai beaucoup aimé les tirades en particuliers de Photine qui semble enfler, tout comme la foule qu'elle draine pour aller voir le messie. Une lecture que j'ai trouvé intéressante et divertissante et qui m'a plus marqué que la lecture de la princesse lointaine de Edmond de Rostand aussi et que j'ai faite juste avant.
