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Critique de Medulla
Lu dans le cadre de mes vacances, ce deuxième volume de la saga des chroniques du tueur du roi reprend la même construction que le premier tome. Kote, aubergiste, confie son histoire au Chroniqueur sous l'oeil attentif de Bast, son assistant. le récit alterne les souvenirs de la jeunesse de Kote avec des situations du quotidien au temps présent.
J'ai apprécié plus particulièrement ce tome. Je pense que d'être familière avec la foultitude des personnages, des termes spécifiques (magiques, géographiques, historiques) m'a permis de me plonger plus aisément dans le récit. J'ai vraiment apprécié la présence plus marquée de certains personnages secondaires comme Elodin (qui me fait beaucoup rire), Denna (toujours aussi mystérieuse et enjôleuse) ou encore Devi (femme cruelle et volontaire)...
Loin d'être une quête, on assiste dans les deux premiers tiers de cette partie aux déboires de l'adolescence. le jeune héros est toujours en proie à ses problèmes d'argents, d'ego et de lutte des classes contre le sinistre Ambrose. Son départ dans le dernier tiers du livre dans une nouvelle contrée apporte un vent de nouveauté attrayant et donne envie de lire la suite ! A suivre donc.
PS : il manque toujours, selon moi, la présence d'un bon vieux lexique reprenant les personnages, les termes spécifiques, des éléments de langages etc... le guide classique que l'on retrouve dans les romans de fantasy d'avant ! Cela permettrait de comprendre un peu mieux les affaires de cour et de politique.
J'ai apprécié plus particulièrement ce tome. Je pense que d'être familière avec la foultitude des personnages, des termes spécifiques (magiques, géographiques, historiques) m'a permis de me plonger plus aisément dans le récit. J'ai vraiment apprécié la présence plus marquée de certains personnages secondaires comme Elodin (qui me fait beaucoup rire), Denna (toujours aussi mystérieuse et enjôleuse) ou encore Devi (femme cruelle et volontaire)...
Loin d'être une quête, on assiste dans les deux premiers tiers de cette partie aux déboires de l'adolescence. le jeune héros est toujours en proie à ses problèmes d'argents, d'ego et de lutte des classes contre le sinistre Ambrose. Son départ dans le dernier tiers du livre dans une nouvelle contrée apporte un vent de nouveauté attrayant et donne envie de lire la suite ! A suivre donc.
PS : il manque toujours, selon moi, la présence d'un bon vieux lexique reprenant les personnages, les termes spécifiques, des éléments de langages etc... le guide classique que l'on retrouve dans les romans de fantasy d'avant ! Cela permettrait de comprendre un peu mieux les affaires de cour et de politique.
