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Critique de dedanso
Il y a des livres qui vous tombent dessus par le plus grand des hasards. Parfois, il y a une petite main aimée qui vous le glisse subrepticement dans vos bagages. Pour moi, tout commence et finit par une histoire de partage.
Partage de cuisine mais surtout partage de vie. Car Câline, en livrant les recettes qu'elle a elle-même glanées auprès de sa famille, souhaite avant toute chose partager des moments de sa vie avec sa petite-fille Ninon.
Il faut dire que Câline a vu du pays : l'Algérie d'abord, un peu d'Espagne aussi par certains de ses aïeuls, la France ensuite et enfin la Bretagne (comment ça la Bretagne est en France ? ).
A chaque recette, souvent même en dehors des recettes proprement dites (par le biais de lettres), Câline dévoile une partie de son intimité familiale : où elle a goûté cette recette pour la première fois, dans quelle circonstance, qui la préparait... Petit à petit, les recettes s'envolent et c'est un pan de la vie familiale qui se découvre.
Sa petite-fille Ninon agrémente l'ouvrage de ses illustrations surannées aux tons bruns : ustensiles et gestes dansent au fil des pages.
En cherchant bien, et parce qu'il faut être honnête, j'ai trouvé deux petits défauts à ce livre : pas de photographies pour voir à quoi ressemblent les plats et plusieurs recettes m'ont parues très compliquées, à moi pauvre bougresse qui tente de temps en temps de se mettre aux fourneaux, pour partager un moment et une technique (de base !) avec les enfants.
Cet ouvrage est d'une grande richesse gastronomique, culturelle et surtout humaine. Des souvenirs de cuisine, des souvenirs "généalogiques" que Câline Roynard et Ninon Jacquin ont bien voulu partager avec nous autres lecteurs. Je les en remercie (ainsi que ma soeurette, la petite main aimée que j'embrasse bien fort).
Partage de cuisine mais surtout partage de vie. Car Câline, en livrant les recettes qu'elle a elle-même glanées auprès de sa famille, souhaite avant toute chose partager des moments de sa vie avec sa petite-fille Ninon.
Il faut dire que Câline a vu du pays : l'Algérie d'abord, un peu d'Espagne aussi par certains de ses aïeuls, la France ensuite et enfin la Bretagne (comment ça la Bretagne est en France ? ).
A chaque recette, souvent même en dehors des recettes proprement dites (par le biais de lettres), Câline dévoile une partie de son intimité familiale : où elle a goûté cette recette pour la première fois, dans quelle circonstance, qui la préparait... Petit à petit, les recettes s'envolent et c'est un pan de la vie familiale qui se découvre.
Sa petite-fille Ninon agrémente l'ouvrage de ses illustrations surannées aux tons bruns : ustensiles et gestes dansent au fil des pages.
En cherchant bien, et parce qu'il faut être honnête, j'ai trouvé deux petits défauts à ce livre : pas de photographies pour voir à quoi ressemblent les plats et plusieurs recettes m'ont parues très compliquées, à moi pauvre bougresse qui tente de temps en temps de se mettre aux fourneaux, pour partager un moment et une technique (de base !) avec les enfants.
Cet ouvrage est d'une grande richesse gastronomique, culturelle et surtout humaine. Des souvenirs de cuisine, des souvenirs "généalogiques" que Câline Roynard et Ninon Jacquin ont bien voulu partager avec nous autres lecteurs. Je les en remercie (ainsi que ma soeurette, la petite main aimée que j'embrasse bien fort).
