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Critique de PinkCatReading
C'est complètement par hasard que je suis tombée sur ce recueil de nouvelles. Une fois de plus, c'est tout d'abord la couverture qui m'a attirée, puis la quatrième de couverture qui me paraissait bien mystérieuse. Des êtres fascinants, des situations étranges, fantastiques, oniriques, dérangeantes et surtout un fil rouge : le passage de notre monde à l'Autre Côté . Quelque soit le pays ou l'époque, André-François Ruaud nous promène à la frontière du rêve et du réel.
J'ai surtout apprécié les deux premières nouvelles qui, si elles prennent complètement racines dans le merveilleux et le fantastique, gardent un pied dans la réalité et racontent vraiment une histoire de bout en bout. « Le garçon doré » relate la découverte d'un jeune homme recouvert de poussière d'or au coeur du Londres des années 20 et mêle mythes celtes et faits historiques. Beaucoup de frustration face à la fin de cette nouvelle dont l'ambiance, les personnages, les mythes celtes et la modernité du Londres des années 20 m'auraient enchantée sur tout un roman !
La seconde, « Une larme rouge » se passe en Touraine dans les années 30 et revisite le mythe de la vouivre. Une très belle nouvelle sur l'amour paternel et la solitude au travers de la découverte d'un bébé dans un nid de serpent par un paysan plutôt misanthrope.
Quant au reste des nouvelles, malgré l'écriture envoûtante et poétique d'André-François Ruaud, je n'ai pas réussi à me laisser totalement emporter dans ces histoires à la frontière de la fantasmagorie, parfois un peu fouillis, dont on ne sait plus si la trame est rêve ou réalité.
Un recueil qui ne me laissera peut être pas un ressenti puissant impérissable mais qui est à découvrir, ne serait-ce que pour la nouvelle éponyme .
J'ai surtout apprécié les deux premières nouvelles qui, si elles prennent complètement racines dans le merveilleux et le fantastique, gardent un pied dans la réalité et racontent vraiment une histoire de bout en bout. « Le garçon doré » relate la découverte d'un jeune homme recouvert de poussière d'or au coeur du Londres des années 20 et mêle mythes celtes et faits historiques. Beaucoup de frustration face à la fin de cette nouvelle dont l'ambiance, les personnages, les mythes celtes et la modernité du Londres des années 20 m'auraient enchantée sur tout un roman !
La seconde, « Une larme rouge » se passe en Touraine dans les années 30 et revisite le mythe de la vouivre. Une très belle nouvelle sur l'amour paternel et la solitude au travers de la découverte d'un bébé dans un nid de serpent par un paysan plutôt misanthrope.
Quant au reste des nouvelles, malgré l'écriture envoûtante et poétique d'André-François Ruaud, je n'ai pas réussi à me laisser totalement emporter dans ces histoires à la frontière de la fantasmagorie, parfois un peu fouillis, dont on ne sait plus si la trame est rêve ou réalité.
Un recueil qui ne me laissera peut être pas un ressenti puissant impérissable mais qui est à découvrir, ne serait-ce que pour la nouvelle éponyme .
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