Aleksander Ranski est un notaire à la double nationalité. Il travaille avec Sebek avec les relations sont assez tendues…
Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire de ce Ranski. Les 130 pages m'ont paru interminables… Ranski est un homme assez étrange, il semble dénoué de sentiments même s'il cherche à trouver du plaisir aussi bien personnel que professionnel. Ses réponses, à ses amies ou autre, me sont restées obscures. C'est un roman tranquille, sans trop d'actions : au début, il est en croisière sur la Volga puis il rencontre tour à tour, sa mère, Sebek et quelques amies. Ranski parait perdu entre sa nationalité polonaise et celle russe. Peut-être L'homme de l'ombre est-il un roman introspectif ? Quand l'introspection d'un homme est le principal ressort du livre, je n'accroche pas…
Merci à Masse Critique et aux éditions Noir sur Blanc pour cette lecture, je ne resterai pas sur cette déception, ils ont tellement de beaux livres par ailleurs.
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