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Critique de Aderu
Rome, sous le règne de Néron.
Un voile de magie.
Une intrigue sur fond de gladiature.
Voilà de quoi partir du bon pied !
Ce deuxième tome des aventures d'Antonius Axa, le "déceleur", se déroule dans une Cité éternelle en proie au courroux des Dieux - des fils de sénateurs sont massacrés dans un temple d'Apollon.
L'intrigue le mènera dans l'arène où le public fractionne devant les combats.
Ce déceleur ne croyant pas aux Dieux verra ses certitudes vaciller et il devra grandement s'employer pour mener à terme son enquête.
C'est sanglant et tonique. C'est plutôt sympathique... mais la fin est torchée à une vitesse déconcertante. C'est fort dommage.
Un voile de magie.
Une intrigue sur fond de gladiature.
Voilà de quoi partir du bon pied !
Ce deuxième tome des aventures d'Antonius Axa, le "déceleur", se déroule dans une Cité éternelle en proie au courroux des Dieux - des fils de sénateurs sont massacrés dans un temple d'Apollon.
L'intrigue le mènera dans l'arène où le public fractionne devant les combats.
Ce déceleur ne croyant pas aux Dieux verra ses certitudes vaciller et il devra grandement s'employer pour mener à terme son enquête.
C'est sanglant et tonique. C'est plutôt sympathique... mais la fin est torchée à une vitesse déconcertante. C'est fort dommage.
