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Critique de LoupAlunettes
Du lundi au vendredi, lever à 7h25.
Il y a du mieux pour mardi, le petit François est déja en train de se changer tandis que la veille le poids du we lui pesait encore sur les paupières, on peut le supposer. Un léger mieux qui va en se maintenant sauf...pour la chambre!
Chaque jour, le père de François ( que l'on identifie comme tel par son ombre au début qui s'anime sur le sol) peste de l'évolution croissante du capharnaüm qui étend son chantier sur l'ensemble de la chambre. Ce qui va rendre la tâche du lecteur difficile pour aider du doigt et du regard le petit François à retrouver ce que lui demande vite vite son père pour ne pas perdre plus de temps et organiser la journée.
L'auteur transforme l'histoire alors en jeu "cherche et trouve" et c'est simple mais toujours rapide car, on le remarque, François bouge les choses d'une page à l'autre, disperse les éléments qui vont par deux. Les caractères gras insufflent l'idée instantanée de la recherche.
Xavier Salomó truffe son décor, cette chambre d'enfant seule scène d'action, de nombreuses références populaires de bandes dessinées, de films animés, de livres pour la jeunesse ( avez vous lu d'ailleurs ce titre qui apparait, " Atchoum!"? Sinon, n'hésitez pas!) que les lecteurs reconnaitront peut-être. de quoi prendre le temps, de découvrir, entre texte et image. Jusqu'au We qui arrive pour un lever plus tardif, le texte du père ne cesse de croître néanmoins d'impatience en réponse au bazar exponentiel. Et le samedi, ça n'est plus possible et la chute nous est cachée par deux double-pages qui vont surprendre les lecteurs, sans doute les faire rire. L'extrême fin nous réserve des petits bonus de tendresse. Un album qui devrait rassurer les parents et les enfants. Très agréable et sympathique dans toutes ses propositions. A découvrir!
Il y a du mieux pour mardi, le petit François est déja en train de se changer tandis que la veille le poids du we lui pesait encore sur les paupières, on peut le supposer. Un léger mieux qui va en se maintenant sauf...pour la chambre!
Chaque jour, le père de François ( que l'on identifie comme tel par son ombre au début qui s'anime sur le sol) peste de l'évolution croissante du capharnaüm qui étend son chantier sur l'ensemble de la chambre. Ce qui va rendre la tâche du lecteur difficile pour aider du doigt et du regard le petit François à retrouver ce que lui demande vite vite son père pour ne pas perdre plus de temps et organiser la journée.
L'auteur transforme l'histoire alors en jeu "cherche et trouve" et c'est simple mais toujours rapide car, on le remarque, François bouge les choses d'une page à l'autre, disperse les éléments qui vont par deux. Les caractères gras insufflent l'idée instantanée de la recherche.
Xavier Salomó truffe son décor, cette chambre d'enfant seule scène d'action, de nombreuses références populaires de bandes dessinées, de films animés, de livres pour la jeunesse ( avez vous lu d'ailleurs ce titre qui apparait, " Atchoum!"? Sinon, n'hésitez pas!) que les lecteurs reconnaitront peut-être. de quoi prendre le temps, de découvrir, entre texte et image. Jusqu'au We qui arrive pour un lever plus tardif, le texte du père ne cesse de croître néanmoins d'impatience en réponse au bazar exponentiel. Et le samedi, ça n'est plus possible et la chute nous est cachée par deux double-pages qui vont surprendre les lecteurs, sans doute les faire rire. L'extrême fin nous réserve des petits bonus de tendresse. Un album qui devrait rassurer les parents et les enfants. Très agréable et sympathique dans toutes ses propositions. A découvrir!
