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Critique de NessM
Son archétype a commis un meurtre puis a disparu. Alors un double à durée limitée, une réplique provisoire partageant les mêmes caractéristiques et les mêmes souvenirs que l'originale, a été créé pour se repentir en tuant son archétype que la police n'a pas pu arrêter. 4 jours, pas un de plus avant que ses nanites ne cessent de fonctionner.
Un texte qui questionne sur la place de ce clone doté de la même conscience et des mêmes sentiments que l'original mais qui doit pourtant comprendre ce qui a poussé son autre soit au meurtre. Mais aussi déterminer qui a le plus le droit de rester ? L'original ou la réplique ?
On peut aussi se poser des questions sur ce monde qui diffère d'un individu à un autre en fonction de ses préférences de thème. Imaginez si vous pouviez personnalisé votre environnement comme vous le faites de votre fond d'écran d'ordinateur en changeant votre apparence ou bien celle des gens avec qui vous interagissez en fonction de vos propres gouts, envies. Si vous décidiez qu'un bâtiment cubique et blanc serait tout de verre dans un style futuriste ou bien plus rustique. Ou encore, si vous occultiez les gens autour de vous afin de profiter d'une balade en foret bucolique alors que vous êtes seulement à quelques pas d'une personne qui elle fera la visite d'un zoo en famille ?
C'est tout ce que les thèmes peuvent faire pour vous. Mais lorsque vous êtes privés de ces thèmes ou que vous décidez de ne plus en être prisonnier, la réalité est tout autre.
J'aime le worldbuilding et l'idée de départ. J'ai eu peur en voyant que la nouvelle ne faisait que 3h20 en audio (pas de version numérique ni papier disponible pour le moment). Malheureusement, je n'ai pas été convaincue par l'histoire en elle-même. C'est brouillon et pas approfondie. Et le style d'écriture est un peu trop simple.
Bref un gros potentiel qui retombe comme un soufflet.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Un texte qui questionne sur la place de ce clone doté de la même conscience et des mêmes sentiments que l'original mais qui doit pourtant comprendre ce qui a poussé son autre soit au meurtre. Mais aussi déterminer qui a le plus le droit de rester ? L'original ou la réplique ?
On peut aussi se poser des questions sur ce monde qui diffère d'un individu à un autre en fonction de ses préférences de thème. Imaginez si vous pouviez personnalisé votre environnement comme vous le faites de votre fond d'écran d'ordinateur en changeant votre apparence ou bien celle des gens avec qui vous interagissez en fonction de vos propres gouts, envies. Si vous décidiez qu'un bâtiment cubique et blanc serait tout de verre dans un style futuriste ou bien plus rustique. Ou encore, si vous occultiez les gens autour de vous afin de profiter d'une balade en foret bucolique alors que vous êtes seulement à quelques pas d'une personne qui elle fera la visite d'un zoo en famille ?
C'est tout ce que les thèmes peuvent faire pour vous. Mais lorsque vous êtes privés de ces thèmes ou que vous décidez de ne plus en être prisonnier, la réalité est tout autre.
J'aime le worldbuilding et l'idée de départ. J'ai eu peur en voyant que la nouvelle ne faisait que 3h20 en audio (pas de version numérique ni papier disponible pour le moment). Malheureusement, je n'ai pas été convaincue par l'histoire en elle-même. C'est brouillon et pas approfondie. Et le style d'écriture est un peu trop simple.
Bref un gros potentiel qui retombe comme un soufflet.
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