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Critique de Bibalice
Les dessins sont certes intéressants et ultra dynamiques mais le récit peine tout de même à convaincre.
Le point de départ est très chouette : En lieu et place de la pollution, ce sont les plantes vertes qui déciment l'humanité ! Seuls rescapés, un homme pour le moins viril et une étrange secte féminine.
Hélas, tout va ensuite beaucoup, beaucoup trop vite. Peut-être suis-je trop vieux pour apprécier à sa juste valeur ce récit ou peut-être suis-je trop insensible à l'esprit manga qui traverse ses pages mais je pense qu'il ne m'a pas fallu plus de 10 minutes pour lire l'album. A force de dynamisme, l'auteur pousse le lecteur enchaîner les pages.
Alors certes, aucun temps mort n'est à déplorer mais il manque un peu de profondeur. Les personnages eux-même n'existent pas vraiment. de même, les scènes de sexe ressemblent plus à un fantasme adolescent qu'autre chose.
Que retient-on une fois l'album (rapidement) refermé ? Moi pas grand chose, et c'est bien dommage.
Le point de départ est très chouette : En lieu et place de la pollution, ce sont les plantes vertes qui déciment l'humanité ! Seuls rescapés, un homme pour le moins viril et une étrange secte féminine.
Hélas, tout va ensuite beaucoup, beaucoup trop vite. Peut-être suis-je trop vieux pour apprécier à sa juste valeur ce récit ou peut-être suis-je trop insensible à l'esprit manga qui traverse ses pages mais je pense qu'il ne m'a pas fallu plus de 10 minutes pour lire l'album. A force de dynamisme, l'auteur pousse le lecteur enchaîner les pages.
Alors certes, aucun temps mort n'est à déplorer mais il manque un peu de profondeur. Les personnages eux-même n'existent pas vraiment. de même, les scènes de sexe ressemblent plus à un fantasme adolescent qu'autre chose.
Que retient-on une fois l'album (rapidement) refermé ? Moi pas grand chose, et c'est bien dommage.
