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Critique de OSOLEMIO
Je m'attendais à une enquête policière, qui au travers d'auditions ferait la "lumière" sur les faits de l'affaire Gasparri ..
Au fur et à mesure de l'avancée dans ma lecture, j'ai compris qu'il s'agissait d'un "piège"tendu par l'auteur pour faire du docteur Gasparri le propos principal du roman !
Mais qui est Fernando Gasparri ?
Un médecin, veuf, catholique, d'origine italienne qui a réussi à se construire une vie confortable, traditionnelle mais sans sa femme, sans enfant, sans amis, il vit une triste routine éloigné des préoccupations de son environnement !
Et, pourtant les années 1930 sont agitées par le fascisme qui tente de récupérer violemment les "ritals" de Belgique...mais il ne se sent pas concerné par tous ces problèmes sociaux, économiques, sanitaires et politiques qui prospèrent au niveau national et même international !
Fernando Gasparri est " tiraillé " entre le discernement : la raison de la réfléxion, et celle du coeur ( la petite musique )...mais c'est à l'occasion d'une consultation médicale d'un jeune couple d'exilés italiens qu'il va être obligé de faire un choix !
Il va, au nom de sa Foi, de la charité chrétienne, d'un sentiment de culpabilité ( celui d'avoir réussi ! ), de la nostalgie de son enfance italienne se sentir obligé de les aider..
Et, sans dévoiler l'histoire, il va même aller chercher Oreste ( frère du couple ) à Mons , l'héberger et ....surtout au mépris de sa rigueur, de son éthique ( personnelle et médicale ), il va enfreindre un grand principe de déontologie ..à savoir prescrire une fausse ordonnance !
J'aurais aimé que l'auteur ( d'origine italienne ) au travers de cette "affaire" creuse plus profondément les conditions difficiles des "ritals" en Belgique dans les années 1930 !
Au fur et à mesure de l'avancée dans ma lecture, j'ai compris qu'il s'agissait d'un "piège"tendu par l'auteur pour faire du docteur Gasparri le propos principal du roman !
Mais qui est Fernando Gasparri ?
Un médecin, veuf, catholique, d'origine italienne qui a réussi à se construire une vie confortable, traditionnelle mais sans sa femme, sans enfant, sans amis, il vit une triste routine éloigné des préoccupations de son environnement !
Et, pourtant les années 1930 sont agitées par le fascisme qui tente de récupérer violemment les "ritals" de Belgique...mais il ne se sent pas concerné par tous ces problèmes sociaux, économiques, sanitaires et politiques qui prospèrent au niveau national et même international !
Fernando Gasparri est " tiraillé " entre le discernement : la raison de la réfléxion, et celle du coeur ( la petite musique )...mais c'est à l'occasion d'une consultation médicale d'un jeune couple d'exilés italiens qu'il va être obligé de faire un choix !
Il va, au nom de sa Foi, de la charité chrétienne, d'un sentiment de culpabilité ( celui d'avoir réussi ! ), de la nostalgie de son enfance italienne se sentir obligé de les aider..
Et, sans dévoiler l'histoire, il va même aller chercher Oreste ( frère du couple ) à Mons , l'héberger et ....surtout au mépris de sa rigueur, de son éthique ( personnelle et médicale ), il va enfreindre un grand principe de déontologie ..à savoir prescrire une fausse ordonnance !
J'aurais aimé que l'auteur ( d'origine italienne ) au travers de cette "affaire" creuse plus profondément les conditions difficiles des "ritals" en Belgique dans les années 1930 !
