p.208: "La vie monastique est comme un chien qui poursuit un lièvre. Il court derrière le lièvre en aboyant; beaucoup d'autres chiens, entendant son aboiement, le rejoignent et ils courent tous ensemble derrière le lièvre. Mais au bout d'un certain temps, tous les chiens qui courent sans voir le lièvre se disent: mais où est-ce que nous allons ? Pourquoi courons-nous ? Ils se fatiguent, se perdent et s'arrêtent de courir l'un après l'autre. Il n'y a que les chiens qui voient le lièvre qui continuent à le poursuivre jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'ils l'attrapent".
Commenter  J’apprécie         20