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Critique de Pixie-Flore
Ceci n'est pas une lecture désagréable mais elle n'est pas agréable non plus. Mais qu'est-ce qu'elle dit ?!
L'auteur, de son pseudonyme Jacques Sarthor, nous livre une lecture perturbante, stylistiquement assez simpliste, et un chouïa violente, dans les propos tenus comme dans les actions.
Sous l'apparence d'un jeune homme aux idées radicales, mais peut-être un peu simplistes, ce Mr Sarthor déroule une réflexion sur la haine de l'autre, la vengeance, la misère, le mal-être. C'est fait d'une façon spécifique, pas toujours très dynamique et très répétitive, mais plutôt intelligemment d'une certaine façon. C'est une sorte de propagande qui finit par se casser la figure lorsqu'elle se confronte au monde réel. L'hypocrisie se dévoile progressivement et laisse notre jeune narrateur carrément perplexe, un peu perdu. Il est pas bien méchant finalement, lui qui est si virulent dans ses propos mais si modéré concernant la violence physique.
C'est une lecture intéressante, troublante, peut-être même dérangeante si on la prend au pied de la lettre, mais qui laisse entrevoir le début d'une réflexion sur la haine qui est à approfondir.
L'auteur, de son pseudonyme Jacques Sarthor, nous livre une lecture perturbante, stylistiquement assez simpliste, et un chouïa violente, dans les propos tenus comme dans les actions.
Sous l'apparence d'un jeune homme aux idées radicales, mais peut-être un peu simplistes, ce Mr Sarthor déroule une réflexion sur la haine de l'autre, la vengeance, la misère, le mal-être. C'est fait d'une façon spécifique, pas toujours très dynamique et très répétitive, mais plutôt intelligemment d'une certaine façon. C'est une sorte de propagande qui finit par se casser la figure lorsqu'elle se confronte au monde réel. L'hypocrisie se dévoile progressivement et laisse notre jeune narrateur carrément perplexe, un peu perdu. Il est pas bien méchant finalement, lui qui est si virulent dans ses propos mais si modéré concernant la violence physique.
C'est une lecture intéressante, troublante, peut-être même dérangeante si on la prend au pied de la lettre, mais qui laisse entrevoir le début d'une réflexion sur la haine qui est à approfondir.
