Un cinquième tome un peu plus musclé. Les cafards semblent plus malins, plus forts, presque imbattables. Cette fois-ci, lumière sur Adolf, le défiguré. On apprend un peu sur l'homme et sa vie amoureuse par flashbacks. Puis on revient sur les petits jeunes plein d'énergie et d'humour même dans les situations les plus dangereuses. Toujours flippantes ces grosses bêtes mais envie de savoir ce que vont devenir ces hommes et ces femmes, possible qu'on en perde quelques uns en route... Aïe aïe aïe !
Commenter  J’apprécie         130