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Critique de Rusen
Derrière cette « magnifique » couverture, évoquant l'improbable rencontre entre Tron et Star Wars mise en image par un élève de CP, se cache un roman allemand traduit et adapté -comprendre : on a du en sucrer une bonne partie, mais vu la qualité de la chose doit-on véritablement s'en plaindre?- en nos contrées par Fleuve Noir et sa fameuse collection Anticipation.
Et bien, oh surprise (ou pas), c'est passablement mauvais et à moitié illisible.
L'histoire est d'un ridicule achevé et il n'y a strictement rien à sauver, et ce n'est pas le style qui relèvera le niveau, loin de là.
C'était tellement bien que, quand je reprenais le roman à l'endroit où je m'étais arrêté la fois précédente, j'avais à chaque fois déjà oublié les trois quart de l'intrigue.
Encore pire, un rapide passage sur noosfere m'apprend que ce bouquin est en fait le 35eme volume d'une série intitulée « Département Anti-Espionnage Scientifique » (rires), qui s'arrêtera chez nous avec le 42eme volet.
Outch.
Bien évidement je ne recommande ce truc à personne et, si des fois la collection Anticipation recèle quelques perles, ce bouquin là n'en fait clairement pas parti.
Et bien, oh surprise (ou pas), c'est passablement mauvais et à moitié illisible.
L'histoire est d'un ridicule achevé et il n'y a strictement rien à sauver, et ce n'est pas le style qui relèvera le niveau, loin de là.
C'était tellement bien que, quand je reprenais le roman à l'endroit où je m'étais arrêté la fois précédente, j'avais à chaque fois déjà oublié les trois quart de l'intrigue.
Encore pire, un rapide passage sur noosfere m'apprend que ce bouquin est en fait le 35eme volume d'une série intitulée « Département Anti-Espionnage Scientifique » (rires), qui s'arrêtera chez nous avec le 42eme volet.
Outch.
Bien évidement je ne recommande ce truc à personne et, si des fois la collection Anticipation recèle quelques perles, ce bouquin là n'en fait clairement pas parti.
