Merci à Masse critique de m'avoir permis de lire un de mes amis Babelio. Chapitres alternés par deux hommes habitant Paris. L'un se rend à Genève où ses parents voudraient qu'il reprenne la grosse entreprise familiale de fromages. L'autre est un activiste formé à Cuba. On attend longtemps avant de savoir ce qui va les réunir et qui est original. On ressent bien le gros travail d'écriture de l'auteur. le problème, et je suis gênée de le dire, est que ce sujet ne m'intéresse pas dans les romans. Les grosses sociétés, l'argent qui coule à flot. L'impression de lire des comptes-rendus d'entreprises et d'être au travail. Heureusement que la belle Julia est là.
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