J'aime l'analogie entre la littérature et la cuisine, et ici, c'est tout à fait justifié. L'auteur a les bon ingrédients, des thèmes porteurs : l'angoisse de la mort, la place de l'homme dans la société moderne, l'amour. Il suit la recette à la lettre : Les descriptions s'enchainent aux scènes d'action, elles-mêmes suivies des réflexions intimes du narrateur, le tout parsemé d'un peu de poésie, de quelques mots de vocabulaire raffinés. le plat est réussi, il se savoure avec plaisir. MAIS,
Philippe Ségur n'est pas Paul Bocuse...
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