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Critique de tointoin
Victime de la couverture.
La lecture s'annonçait prometteuse : une couverture superbe, un bon gros pavé de 430 pages, un éditeur reconnu et non des moindres (Robert Laffont), un résumé du livre et de son auteur suédois très alléchant.
Mais très rapidement l'enthousiasme se gâte, c'est à dire dès la première page !
Je me dis que je suis peut-être un peu fatigué et que j'ai du mal à me concentrer. J'insiste, mais ça n'accroche pas.
Et au premier tiers du livre, j'abandonne.
À quoi attribuer ce désintérêt ?
Un manque d'empathie pour Woyzeck, personnage sans incarnation dans le récit ?
L'écriture n'est vraiment pas fluide et comme je ne parle pas le suédois couramment, je ne sais pas si c'est une traduction ou un texte original sans relief.
Donc déception, les apparences m'ont trompé.
La lecture s'annonçait prometteuse : une couverture superbe, un bon gros pavé de 430 pages, un éditeur reconnu et non des moindres (Robert Laffont), un résumé du livre et de son auteur suédois très alléchant.
Mais très rapidement l'enthousiasme se gâte, c'est à dire dès la première page !
Je me dis que je suis peut-être un peu fatigué et que j'ai du mal à me concentrer. J'insiste, mais ça n'accroche pas.
Et au premier tiers du livre, j'abandonne.
À quoi attribuer ce désintérêt ?
Un manque d'empathie pour Woyzeck, personnage sans incarnation dans le récit ?
L'écriture n'est vraiment pas fluide et comme je ne parle pas le suédois couramment, je ne sais pas si c'est une traduction ou un texte original sans relief.
Donc déception, les apparences m'ont trompé.
