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Critique de DELOUCoeur
Pièce de théâtre gagnée au concours « Masse Critique » de Babelio, que je remercie.
Il s'agit en fait du deuxième volet d'une trilogie et malheureusement je n'ai pas lu le premier.
Nour, brillante cardiologue, est venue en France pour faire ses études et surtout retrouver Hayat, sa mère. Celle-ci l'a laissée, peu après sa naissance, à la grand-mère, pour fuir à Paris, loin d'une guerre à cause de laquelle son petit frère a perdu la vie. Lors d'une manifestation, elle soigne Jordan, un agronome antillais. Celui -ci est intégré à une communauté d'écolos vivant dans des cabanes dans les arbres d'une forêt qu'ils veulent sauver et compte bientôt les y rejoindre définitivement pour s'installer avec eux. Nour aimerait continuer sa formation pour devenir chirurgienne cardiaque. Malheureusement, le quota des étudiants hors Europe est atteint et, bien qu'elle soit particulièrement douée, elle n'est pas retenue. Elle s'occupe d'une jeune enfant atteinte de malformation cardiaque, complètement négligée par sa mère qui l'abandonne. Évidemment Nour y trouve un écho à sa propre histoire. Hayat, très malade, atteinte de démence, retrouve sa fille avant de mourir, au grand dam de son mari hyper protecteur et possessif. Simultanément Nour identifie son géniteur qui vit en Amérique et y a fondé une famille.
La pièce est un petit opuscule où trop de thèmes sont abordés. La démence, le cancer, la dégradation de la société et de la terre, l'écologie, les abandons générant des troubles de l'attachement, les conflits du moyen-Orient, l'ostracisation de la multiculturalité, les soucis de manque de place dans les hôpitaux etc.
J'en attendais beaucoup plus et ai été déçue.
Il s'agit en fait du deuxième volet d'une trilogie et malheureusement je n'ai pas lu le premier.
Nour, brillante cardiologue, est venue en France pour faire ses études et surtout retrouver Hayat, sa mère. Celle-ci l'a laissée, peu après sa naissance, à la grand-mère, pour fuir à Paris, loin d'une guerre à cause de laquelle son petit frère a perdu la vie. Lors d'une manifestation, elle soigne Jordan, un agronome antillais. Celui -ci est intégré à une communauté d'écolos vivant dans des cabanes dans les arbres d'une forêt qu'ils veulent sauver et compte bientôt les y rejoindre définitivement pour s'installer avec eux. Nour aimerait continuer sa formation pour devenir chirurgienne cardiaque. Malheureusement, le quota des étudiants hors Europe est atteint et, bien qu'elle soit particulièrement douée, elle n'est pas retenue. Elle s'occupe d'une jeune enfant atteinte de malformation cardiaque, complètement négligée par sa mère qui l'abandonne. Évidemment Nour y trouve un écho à sa propre histoire. Hayat, très malade, atteinte de démence, retrouve sa fille avant de mourir, au grand dam de son mari hyper protecteur et possessif. Simultanément Nour identifie son géniteur qui vit en Amérique et y a fondé une famille.
La pièce est un petit opuscule où trop de thèmes sont abordés. La démence, le cancer, la dégradation de la société et de la terre, l'écologie, les abandons générant des troubles de l'attachement, les conflits du moyen-Orient, l'ostracisation de la multiculturalité, les soucis de manque de place dans les hôpitaux etc.
J'en attendais beaucoup plus et ai été déçue.
