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Critique de Romileon
Coco rêve de magie depuis qu'un mystérieux homme masqué lui a vendu un livre magique et « une baguette » quand elle était petite.
Espionnant un magicien, elle pense avoir compris comment utiliser le précieux livre.
Malheureusement, ses essais vont conduire à la pétrification de sa mère. Kieffrey est donc obligé de l'emmener dans son atelier afin de la former à la magie car, elle seule pourra lever le sort infligé à sa mère.
L'un des items du Défi Plumes féminines demande la lecture d'un manga. Je me suis donc exécutée.
Je n'aime pas les mangas, décidément pas.
Si le récit n'est pas ennuyeux en soit, quoiqu'il ne propose rien à mon sens de particulièrement intéressant, je n'adhère pas du tout à ce genre de graphisme.
Les illustrations sont plutôt jolies mais je trouve que tous les personnages se ressemblent. Il suffit ici de prendre les quatre apprenties sorcières de Kieffrey. Elles ont toutes exactement le même visage, le même physique. La seule chose que les distingue sont leurs cheveux : blonds et raides, longs, bouclés, bruns.
Quant aux expressions des visages ? Alors là, non. Ça ne passe pas.
Les visages sont lisses : yeux démesurés à la Candie et petit cercle figurant la bouche mais quand l'héroïne éprouve des sentiments ils sont quasiment pictogrammisés. Colère, impatience, peur sont représentés toujours de la même manière : les yeux sont exorbités à l'aide de cercles noircis par plusieurs passages de crayon, une ligne démesurée vaguement circulaire figurant la bouche …
Cela a eu le mérite de confirmer quelque chose que je savais déjà : les mangas ne sont pas pour moi.
Espionnant un magicien, elle pense avoir compris comment utiliser le précieux livre.
Malheureusement, ses essais vont conduire à la pétrification de sa mère. Kieffrey est donc obligé de l'emmener dans son atelier afin de la former à la magie car, elle seule pourra lever le sort infligé à sa mère.
L'un des items du Défi Plumes féminines demande la lecture d'un manga. Je me suis donc exécutée.
Je n'aime pas les mangas, décidément pas.
Si le récit n'est pas ennuyeux en soit, quoiqu'il ne propose rien à mon sens de particulièrement intéressant, je n'adhère pas du tout à ce genre de graphisme.
Les illustrations sont plutôt jolies mais je trouve que tous les personnages se ressemblent. Il suffit ici de prendre les quatre apprenties sorcières de Kieffrey. Elles ont toutes exactement le même visage, le même physique. La seule chose que les distingue sont leurs cheveux : blonds et raides, longs, bouclés, bruns.
Quant aux expressions des visages ? Alors là, non. Ça ne passe pas.
Les visages sont lisses : yeux démesurés à la Candie et petit cercle figurant la bouche mais quand l'héroïne éprouve des sentiments ils sont quasiment pictogrammisés. Colère, impatience, peur sont représentés toujours de la même manière : les yeux sont exorbités à l'aide de cercles noircis par plusieurs passages de crayon, une ligne démesurée vaguement circulaire figurant la bouche …
Cela a eu le mérite de confirmer quelque chose que je savais déjà : les mangas ne sont pas pour moi.
