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Critique de RyzLit
Ce roman propose un concept intéressant, celui de personnifier les drogues. Les personnages principaux sont au nombre de 4 : Roxy et Addison, les drogues personnifiées et Ivy et Isaac, les proies des deux premiers.
La personnification permet de prendre conscience des relations entre les drogues, leurs effets, fonctionnements et leur nombre (colossal) !
Si le postulat de départ est intéressant, la lecture n'est pas fluide. En effet, le roman est long à démarrer et l'intrigue se fait attendre.
Personnellement j'ai rencontré quelques difficultés de compréhension. Les drogues draguent, discutent comme si elles étaient des personnes visibles par leurs "proies" et, selon moi, celà nuit parfois au texte. L'échange véritable entre drogue et proie n'est pas possible, les questions réponses improbables alors, en tant que lecteur, on s'y perd un peu.
Je n'ai pas été "addict" en lisant ce roman, j'ai plutôt peiné à arriver au bout et eu du mal à visualiser le concept de la Soirée, espace où toutes les drogues ramènent leurs proies...
Une lecture qui m'emballait avant d'avoir le roman entre les mains mais qui, au final, ne m'a pas enthousiasmée.
La personnification permet de prendre conscience des relations entre les drogues, leurs effets, fonctionnements et leur nombre (colossal) !
Si le postulat de départ est intéressant, la lecture n'est pas fluide. En effet, le roman est long à démarrer et l'intrigue se fait attendre.
Personnellement j'ai rencontré quelques difficultés de compréhension. Les drogues draguent, discutent comme si elles étaient des personnes visibles par leurs "proies" et, selon moi, celà nuit parfois au texte. L'échange véritable entre drogue et proie n'est pas possible, les questions réponses improbables alors, en tant que lecteur, on s'y perd un peu.
Je n'ai pas été "addict" en lisant ce roman, j'ai plutôt peiné à arriver au bout et eu du mal à visualiser le concept de la Soirée, espace où toutes les drogues ramènent leurs proies...
Une lecture qui m'emballait avant d'avoir le roman entre les mains mais qui, au final, ne m'a pas enthousiasmée.
