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Critique de Denisbaroudeurdelignes


Ce roman est une nouvelle de l'espion du Mossad Gabriel Allon. Et selon Wiki C'est déjà la 21ᵉ,alors j'arrive un peu en retard et j'ai pris le train en marche. Dans ce tome, l'une des nombreuses connections du protagoniste est liée à l'assassinat d'un oligarque russe en exil à Londres. Il se voulait lanceur d'alerte sur les magouilles d'une célèbre banque suisse fourré d'argent sale selon les documents fournis par une jeune femme artiste violoncelliste.
Le début du roman est assez bien écrit, à la manière d'un roman noir américain. J'ai lu les 120 pages d'une traite. Mais, après avoir dépassé la page 132, j'ai ressenti une indigestion avec les trop nombreuses références aux précédentes aventures du héros que je ne connais pas ! Frustration ! C'est exactement ce qu'il ne faut pas faire pour les lecteurs qui n'ont pas lu les 20 premiers livres ! C'est gavant, car on perd le fil en plus !
À ce sentiment de gavage s'ajoutent tous les protagonistes qui gravitent autour de Gabriel. Ils ont chacun leur histoire, à voir dans les tomes précédents = vous voulez comprendre, achetez tous les tomes !! C'est du forcing d'achat ! L'histoire, en tant que telle, est centré sur la corruption à la russe, des oligarques gravitant autour d'un certain Vladimir, dictateur venu du froid.
Mais, par curiosité, je tenais à poursuivre (suis-je un peu sado-maso???). Et après, ce sont des aspects très vus et très revus d'un thriller à l'américain qui ont fini par m'énerver : l'agent secret et plus fort que tout et très costaud, un peu à la Stallone ou comme le videur Daniel Graig / James Bond, mais sans ses gadgets ni la bondgirl.
Par contre, on voyage beaucoup, c'est un bon point. L'histoire se déroule à notre époque, en période post covid, la paranoïa du post-confinement est bien intégrée dans l'intrigue. J'en suis sorti avec un sentiment mitigé, d'où mes 3 étoiles. Ni très bien ni très mauvais.
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