Déçue par ce deuxième tome, qui précise l'intrigue, tout en la complexifiant, pour cacher des idées qui seraient peut-être assez sommaires. Koïos a besoin de posséder des corps pour s'incarner en Dieu. Un corps humain ne lui suffit pas (Sonntag, d'autant moins que ce dernier recouvre une partie de sa mémoire, et ce faisant risque de vouloir exercer un libre arbitre). Koïos a besoin de prendre possession d'une planète Kayenn. Mais Arès n'est pas loin. Un remix de mythologie ? A vérifier dans le tome 3, annoncé comme tome final.
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