Le spectre insatiable

Un "Gore" pénible à terminer. Un sujet de malédiction ancienne sur un petit village et ses bois archi-classique et ce n'est pas le traitement elliptique et peu immersif de Guy N. Smith qui viendra bouleverser le genre. le roman suscite peu d'intérêt donc. La faute notamment à une profusion de personnages mal introduits, aux enjeux faibles et surtout à aucun moment attachants ou intéressants. Peu importe ce qui va dès lors leur arriver, d'autant que la trame décousue du roman empêche de soutenir un quelconque intérêt pour leurs péripéties.

Peut être le roman a-t-il fait l'objet de coupes sombres dans son texte, comme cela arrive souvent avec les romans anglo-saxons publiés dans la collection pour atteindre le format rigide de 150 pages.