Capeta, tome 2

Dans ce tome, nous rentrons de plus en plus dans le monde du karting. Malgré tous les obstacles et même financiers, vu que le kart est un sport de luxe, Cap va se donner à fond sur la piste. Il va réfléchir, ajuster ses gestes, ne pas se décourager, s'accrocher très fort cela quitte à se mettre potentiellement en danger. Et cela fait sensation là-bas, les gens commencent par le repérer, entre autre quelqu'un de très doué qui s'y connaît fort bien. Néanmoins c'est difficile de totalement y croire tellement il a cette tendance à en faire trop et ce jusqu'au bout des ongles, enfin au bout du tome, qui arrivera bien vite l'air de rien. La preuve que finalement l'histoire nous immerge pas mal.
Au début du tome, Capeta est très déçu, on lui dit que le kart est dangereux et qu'il devrait en descendre, mais dans ses tripes il n'est pas d'accord et repart. Il va alors se battre avec tout ce qu'il a, ses connaissances, son kart, les expériences qu'il fait et s'ajuster, essayer. C'est assez passionnant à suivre, et quand la personne qui s'y connaît bien le repère, nous avons en plus des explications très intéressantes.
Bien sûr, que le kart n'est pas tout, mais avoir un bon matériel peut quand même changer la donne. C'est un talent brut de décoffrage qu'il nous montre, car l'air de rien c'est sa toute première fois.
Il semblerait qu'il ait la passion de la course automobile dans le sang, et également celle de gagner, de se dépasser.
Au cours du tome, nous rencontrerons également un autre jeune pilote, celui auquel Capeta va se confronter, et encore la situation est également surprenante.
Pas mal d'éléments sont intéressant et captivant, nous sommes totalement embarqués sur la piste nous aussi.
Le côté familial nous touche beaucoup aussi, mais Cap n'en est qu'au début. Cap est encouragé par son père et ses amis.