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Critique de Axelinou


Où l'on retrouve le désormais récurrent Commissaire Garenni et surtout Carmen, la révolutionnaire de l'Amerzone (t. 5) – « Hmmm ! Ça fait plaisir de revoir la plus charmante des protagonistes de mes aventures passées !... », dixit Canardo.

En résumé, Carmen et un groupe de joyeux révolutionnaires arraisonnent un pétrolier au large des côtes françaises en plein mois d'août et menacent de tout faire péter si le gouvernement français ne leur livre pas l'infâme Colonel Colibarès afin que celui-ci soit traduit devant le tribunal révolutionnaire d'Amerzone.

Je ne vous dévoilerai pas l'intrigue, toujours aussi lente avec Canardo (ou avec Sokal ?), mais in fine le pétrolier n'explosera pas.

Néanmoins : « Chers téléspectateurs… C'est un jour noir pour La Borniche Les Bains… Ces plages où hier encore s'ébattaient des bambins insouciants, ne sont plus que ruines et désolation… Les terroristes ont mis leurs menaces à exécution : ils ont vidé les cuves du pétrolier !... »

En fait, c'est une Fake News : Dès la nouvelle annoncée, une multitude de rafiots s'étaient approchés du pétrolier, attendant la nuit pour vidanger leurs cuves – dégazer dans le jargon.

« - Vous êtes sûr qu'on ne risque rien ?!
- On dégazera cette nuit, mon petit Roger ! " Quand les gros chient, on n'entend pas les petits péter "...
- Hum!!! C'est grâcieux, mon Capitaine...
- ... C'est un proverbe panaméen !... »

Du grand Canardo !
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