Baroque, tragique, aux limites du glauque, l'âme russe est poussée dans ses retranchements félins. Il y a du poil et de la moustache, les matières sont vivantes et les corps frémissent. J'aime le dessin et les caractères bien trempés, mais je goûte peu cette grandiloquence éplorée mâtinée de polar nonchalant.
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