Je n'irai pas au-delà de la page 121, car je m'ennuie trop. Il ne s'est encore rien passé. Un éditeur d'aujourd'hui aurait fait supprimer toutes ses dizaines de pages inutiles. Je ne sais pas ce qui pourra bien advenir au personnage principal dans la suite du roman, mais tant pis car Peredonov n'est ni sympathique ni antipathique, donc il laisse indifférent. J'étais pourtant motivé par ce beau livre, mon premier roman russe. Quelle déception !
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