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Critique de Luniver
La famille Freeling vit paisiblement dans un tout nouveau quartier d'habitation. Couple stable, enfants heureux, tout se passe bien pour eux. À l'exception d'un clown qui a tendance à ne jamais se trouver là où on l'avait laissé la dernière fois, une petite fille somnambule qui est fascinée par les écrans de télévision et qui parle à des gens invisibles qui se trouvent dans le poste. Un soir d'orage, tout bascule : un arbre auparavant sagement planté dehors tente d'entrer dans la maison, les meubles décident que la loi de la gravité ne les concerne plus personnellement et Carole-Anne qui est aspirée par le placard. Sa famille pourra tout de même communiquer avec elle via le poste de télévision.
Pas très loin de là, une équipe scientifique travaille sur les phénomènes parapsychologiques. Un medium entend les cris de Carole-Anne et dans sa transe, emmène l'équipe vers la maison des Freeling. Les deux groupes se souderont pour tenter de ramener le calme dans la maison.
J'avais un peu peur en commençant ce livre qu'il soit démodé : ça n'a pas été le cas (une fois qu'on a absorbé le fait que les émissions de télévision s'arrêtent à 18h). Même si les esprits, fantômes et autres mediums ne me font en règle général pas beaucoup d'effet, le récit m'a tout de même procuré quelques bons moments de frisson.
Pas très loin de là, une équipe scientifique travaille sur les phénomènes parapsychologiques. Un medium entend les cris de Carole-Anne et dans sa transe, emmène l'équipe vers la maison des Freeling. Les deux groupes se souderont pour tenter de ramener le calme dans la maison.
J'avais un peu peur en commençant ce livre qu'il soit démodé : ça n'a pas été le cas (une fois qu'on a absorbé le fait que les émissions de télévision s'arrêtent à 18h). Même si les esprits, fantômes et autres mediums ne me font en règle général pas beaucoup d'effet, le récit m'a tout de même procuré quelques bons moments de frisson.
