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Critique de Rivesalt


Des trois tomes, c'est probablement celui que j'ai le plus eu du mal à lire, je n'en pouvais plus tellement Hadès me gonflait. Comme j'ai pu le dire sur mes critiques sur les autres tomes, le côté politique apporté par le point de vu du dieux des morts est très intéressant. Mais le personnage en lui-même est vraiment catastrophique et la plume de Scarlett à son sujet ne le sert pas vraiment. Hadès ne pense qu'à se taper Perséphone, à se demander s'il n'a pas un problème parce que ce sont des pensées qui lui viennent dans des moments absolument pas adaptés… Et la manière dont l'autrice décrit son désir pour la déesse du printemps mais aussi leurs ébats est lourde, répétitive et manque sérieusement de vocabulaires. le livre prend parfois des allures de film porno mal scénarisé. Je sais que certains aiment ça, mais ces scènes pourraient être plus facile à lire si on avait pas sans cesse l'impression d'être face à des animaux dénué de contrôle et surtout sans le moindre romantisme, sans la moindre classe.
Mais encore une fois, Hermès reste mon chouchou, parce qu'il lance toujours des répliques super drôles ! J'aimerais tellement une version centrée sur lui, on rigolerait à coup sûr !
En tout cas, j'ai hâte de retrouver le point de vue de Perséphone parce que vraiment, Hadès, je ne peux plus me le voir !
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