A travers ces quelques lettres qui s'étalent de 1935 à 1955, se dessine le portrait de Nicolas de Stael, à la recherche de l'absolu, passionné et inquiet, qui finira par donner sa vie du haut du fort d'Antibes et nous laissera orphelins de son génie.
Très émouvant par son refus de toute compromission, ce portrait en creux de l'artiste au travail est inoubliable.
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