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Critique de LoupAlunettes
"La grande aventure des petits", c'est on l'imagine bien l'une des nombreuses bêtises de la famille Petit( les juniors).
Lorsque le dos des parents Petit est tourné et qu'on croira les petits Petit couchés, voici ce qui peut se passer. Parce que les deux Petit sont des petits comme les autres, des petits curieux.
Cette aventure ira bien plus loin qu'une expédition pipi terrifiante dans le noir en longeant un couloir et des couloirs, dans le logis de la famille Petit, il y en a.
Quel lieu!
On pourrait s'y perdre mais pas eux.
Nous aurons deux aventuriers très jeunes et coquins.
Habiles et fins connaisseurs des recoins du manoir, des passages, sur la rampe d'escalier, sous les tables ou par les passages secrets, derrière certains tableaux accrochés.
Nous aurons envie de sourire de cette envie d'escapade familière des petits qui se demandent ce qu'il se passe pour qu'on les mette au lit tandis que l'animation semblera filtrer sous la porte de la chambre.
Nous serons emmerveillés du lieu, aussi cossue que l'Elysée du Président.
Ce qui va se dérouler pourrait arriver n'importe où avec des petits( enfin dans des endroits familiers car ça serait bien pire pour le cas contraire).
Les petits curieux vont avoir la bougeotte, jouer les espions et par mégarde, l'un de leurs complices ( il y avait aussi le chien) va tomber de l'étage et des escaliers, droit dans la foule d'invités de la soirée mondaine ( le doudou fera le saut de l'ange).
Vont-ils se faire gronder?
Rapidement ( avec le chien), les enfants de la famille Petit se glisseront parmi eux ( sans être vus) et cela tiendra du miracle.
Sauf à la fin...
Et là, nous ne pourrons nous empêcher de rire, nous lecteurs.
D'après vous, comment se feront-ils prendre?
Le graphisme d'Helen Stephens nous rappellera le style du formidable et drôle illustrateur anglais Tony Ross. Les deux partageront un trait familier et beaucoup d'espièglerie.
Lorsque le dos des parents Petit est tourné et qu'on croira les petits Petit couchés, voici ce qui peut se passer. Parce que les deux Petit sont des petits comme les autres, des petits curieux.
Cette aventure ira bien plus loin qu'une expédition pipi terrifiante dans le noir en longeant un couloir et des couloirs, dans le logis de la famille Petit, il y en a.
Quel lieu!
On pourrait s'y perdre mais pas eux.
Nous aurons deux aventuriers très jeunes et coquins.
Habiles et fins connaisseurs des recoins du manoir, des passages, sur la rampe d'escalier, sous les tables ou par les passages secrets, derrière certains tableaux accrochés.
Nous aurons envie de sourire de cette envie d'escapade familière des petits qui se demandent ce qu'il se passe pour qu'on les mette au lit tandis que l'animation semblera filtrer sous la porte de la chambre.
Nous serons emmerveillés du lieu, aussi cossue que l'Elysée du Président.
Ce qui va se dérouler pourrait arriver n'importe où avec des petits( enfin dans des endroits familiers car ça serait bien pire pour le cas contraire).
Les petits curieux vont avoir la bougeotte, jouer les espions et par mégarde, l'un de leurs complices ( il y avait aussi le chien) va tomber de l'étage et des escaliers, droit dans la foule d'invités de la soirée mondaine ( le doudou fera le saut de l'ange).
Vont-ils se faire gronder?
Rapidement ( avec le chien), les enfants de la famille Petit se glisseront parmi eux ( sans être vus) et cela tiendra du miracle.
Sauf à la fin...
Et là, nous ne pourrons nous empêcher de rire, nous lecteurs.
D'après vous, comment se feront-ils prendre?
Le graphisme d'Helen Stephens nous rappellera le style du formidable et drôle illustrateur anglais Tony Ross. Les deux partageront un trait familier et beaucoup d'espièglerie.
