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Critique de mamary57


Cette histoire commence par la trouvaille d'une petite princesse. Un matin, en roue pour le travail, Vale va être l'observateur d'un spectacle qui le met hors de lui. Deux jeunes garçons sont en train d'embêter une petite fille de 4 ans. Il va vite foncer pour la défendre et devenir de ce fait son « zevalier ».

Pour lui il est inconcevable qu'une petite fille de cet âge traine dans les rues si tôt le matin et sa soeur Maya va en faire les frais. On avait déjà pu découvrir ce grand gaillard dans les deux tomes précédents, on avait pu constater qu'il était d'une loyauté sans faille envers ses amis. Et dans ce tome, il est même prêt à aider une femme qui reste encore un mystère pour lui.

Maya voit sa vie se compliquer encore plus depuis que sa mère a décidé d'empreinter de l'argent à Doug. Elle devait rembourser une dette que son père avait contracté avant sa mort mais la voilà à devoir plus, elle avait déjà du mal à joindre les deux bouts et maintenant cet être immonde en veux à son physique, physique qu'elle s'efforce de cacher derrière des vêtements amples.

Lorsqu'elle apprend à ce dernier qu'il lui est impossible de succomber à ses avances car elle est déjà prise, elle se retrouve piégée de son propre mensonge et le beau Vale va devoir venir à son secours.

Pour eux deux, ce n'est que de la comédie, mais est-ce vraiment raisonnable ?

Pourquoi Maya se cache-t-elle ainsi ? Que lui est-il arrivé par le passé ?

Certes Vale s'est toujours juré que ce qu'ont trouvé ses amis Connor et James n'est pas fait pour lui mais alors pourquoi cette « souris grise » le perturbe autant ?

Et surtout qui est cette fameuse rosa, ce prénom qui est tatoué sur la peau de ce Dieu ?

J'ai adoré ce troisième tome car il est en mon sens le meilleur des trois. Quand on voit à quel point des grands gaillards peuvent perdre leurs moyens quand arrive dans leurs vies la tempête c'est quelque chose de merveilleux. le personnage de Maya est d'une profondeur intense. La façon qu'elle a de prendre soin de sa soeur tout en prenant devant cette dernière la défense de sa mère qui s'en fiche de ses deux filles et s'amuse depuis la mort de son mari.
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