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Critique de nanonoel
Un univers de meute, des jeux BDSM (et pas juste 3 lignes pour faire comme si), autant dire que cette histoire avait tout pour me plaire et pas qu'un peu ! Dites-moi pourquoi je me suis figuré de la noirceur et des scènes difficiles ? Hormis la raison évidente évidemment ! J'avais cru comprendre que notre jeune humain Sean se tournait vers le bondage et autres fessées pour éloigner sa culpabilité et réapprendre la confiance, le tout dans les bras de Monsieur, un garou, donc forcément, j'ai imaginé des scènes assez hard et une histoire difficile et peut-être même angoissante. A quel moment avais-je oublié que l'auteur était Magali Stevens ?? Vous savez, celle qui nous a tant fait rire avec Suprasouth ?
Alors autant vous dire que j'ai été déstabilisée. Très déstabilisée... mais une fois que j'ai reconnecté mes neurones et me suis rappelée qui était l'auteur, j'ai pu dévorer ce livre et profiter de son impertinence, à laquelle, je dois avouer, je suis hyper réceptive ! Attention, cet humour est tout de même moins présent que dans Suprasouth, car soyons sérieux, les scènes de BDSM ne sont pas à prendre à la légère ! Elles sont nombreuses, d'ailleurs, et vraiment belles et bien scénarisées. Je les ai beaucoup aimées et je pense qu'en plus, elles sont pour tout public (à supposer qu'il ait plus de 18 ans) donc tout ceux qui ont envie de me dire " Ah, non ! Pas du BDSM ! C'est too much !" Je vous arrête tout de suite. Tentez, vous pourriez être surpris !
Alors même si mon côté Mr Hyde aurait apprécié plus de profondeur et de noirceur, mon côté Dr Jekyll a pris beaucoup de plaisir à l'humour qui éclaboussait de temps en temps le récit de sourires voire même d'éclats de rire. Et j'ai dégusté cette histoire, me suis réchauffée aux scènes épicées et quand je voulais me détendre après une séance au Club Fantasy, j'étais sûre de pouvoir souffler grâce à des dialogues savoureux :
-"Mec, je me fiche que tu aimes les hommes, les femmes ou les pingouins ! Tu n'aimes pas les pingouins, si ???!"
Alors autant vous dire que j'ai été déstabilisée. Très déstabilisée... mais une fois que j'ai reconnecté mes neurones et me suis rappelée qui était l'auteur, j'ai pu dévorer ce livre et profiter de son impertinence, à laquelle, je dois avouer, je suis hyper réceptive ! Attention, cet humour est tout de même moins présent que dans Suprasouth, car soyons sérieux, les scènes de BDSM ne sont pas à prendre à la légère ! Elles sont nombreuses, d'ailleurs, et vraiment belles et bien scénarisées. Je les ai beaucoup aimées et je pense qu'en plus, elles sont pour tout public (à supposer qu'il ait plus de 18 ans) donc tout ceux qui ont envie de me dire " Ah, non ! Pas du BDSM ! C'est too much !" Je vous arrête tout de suite. Tentez, vous pourriez être surpris !
Alors même si mon côté Mr Hyde aurait apprécié plus de profondeur et de noirceur, mon côté Dr Jekyll a pris beaucoup de plaisir à l'humour qui éclaboussait de temps en temps le récit de sourires voire même d'éclats de rire. Et j'ai dégusté cette histoire, me suis réchauffée aux scènes épicées et quand je voulais me détendre après une séance au Club Fantasy, j'étais sûre de pouvoir souffler grâce à des dialogues savoureux :
-"Mec, je me fiche que tu aimes les hommes, les femmes ou les pingouins ! Tu n'aimes pas les pingouins, si ???!"
