Dès le début, on est bien avec
Oliver Stone, sa façon de parler, ses digressions et ce côté écorché…
Il raconte, par petits morceaux, ses origines, sa mère (exubérante, envahissante, tellement française), son père (ténébreux, pondéré, tellement américain) et le résultat du coup de foudre paternel à Paris, en France, juste après le débarquement allié… lui.
Le vietnam, la brutalité, la fraternité aussi, la découverte d'une autre amérique, noire, pauvre, le retour aux Usa, les drogues, le mal-être etc.
Une biographie passionnante pour une fan comme moi… qui prouve encore l'anticonformiste du bonhomme et le fait que son côté poil à gratter me sied au teint et au cerveau !!
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