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De deux choses l'une, soit Jacques Suissa a commis ce récit un soir de beuverie et l'a envoyé à l'édition avant de se relire, soit il un gros compte à régler avec la langue française (et maintenant, c'est la langue française qui peut lui demander des comptes).
On sait que dans l'autoédition, on peut tomber sur le meilleur comme sur le pire. Question pire, ici, je ne suis pas certaine de trouver mieux !
C'est avec un vocabulaire d'une pauvreté à pleurer que l'auteur tente de nous immerger dans une histoire de terrorisme. Il ne semble maîtriser ni la grammaire élémentaire, ni la notion de concordance des temps et pire encore, éprouve des difficultés à utiliser les pronoms qui sont presque chaque fois redondants avec l'objet auquel ils sont supposés se substituer.
Je vous passe les incohérences, les répétitions de mots à l'envi, le fait que tous les personnages sont décrits par leur taille et leurs vêtements, les fautes d'orthographe, les phrases rendues incompréhensibles par l'absence (apparente) de certains mots...
Si je suis bien consciente que l'absence d'un éditeur digne de ce nom peut parfois se faire cruellement sentir dans l'autoédition, il me semble que la préoccupation de tout auteur devrait reposer sur le respect de son lecteur. Et ici, devant ce ramassis (je n'ai pas d'autre mot), le lecteur n'est pas respecté. Ce texte n'aurait pas obtenu la moyenne dans un cours de français au collège.
Et dire que je l'ai entre les mains car il fait partie de la sélection pour le prix des étoiles 2021 de Librinova...
Critique de MaggyM
De deux choses l'une, soit Jacques Suissa a commis ce récit un soir de beuverie et l'a envoyé à l'édition avant de se relire, soit il un gros compte à régler avec la langue française (et maintenant, c'est la langue française qui peut lui demander des comptes).
On sait que dans l'autoédition, on peut tomber sur le meilleur comme sur le pire. Question pire, ici, je ne suis pas certaine de trouver mieux !
C'est avec un vocabulaire d'une pauvreté à pleurer que l'auteur tente de nous immerger dans une histoire de terrorisme. Il ne semble maîtriser ni la grammaire élémentaire, ni la notion de concordance des temps et pire encore, éprouve des difficultés à utiliser les pronoms qui sont presque chaque fois redondants avec l'objet auquel ils sont supposés se substituer.
Je vous passe les incohérences, les répétitions de mots à l'envi, le fait que tous les personnages sont décrits par leur taille et leurs vêtements, les fautes d'orthographe, les phrases rendues incompréhensibles par l'absence (apparente) de certains mots...
Si je suis bien consciente que l'absence d'un éditeur digne de ce nom peut parfois se faire cruellement sentir dans l'autoédition, il me semble que la préoccupation de tout auteur devrait reposer sur le respect de son lecteur. Et ici, devant ce ramassis (je n'ai pas d'autre mot), le lecteur n'est pas respecté. Ce texte n'aurait pas obtenu la moyenne dans un cours de français au collège.
Et dire que je l'ai entre les mains car il fait partie de la sélection pour le prix des étoiles 2021 de Librinova...
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