Soldiers, tome 2 : Storm

J'avais beaucoup aimé le premier tome et j'ai adoré retourner auprès de nos militaires. On revit, d'un point de vue différent, cette mission en Afghanistan qui a chamboulé toute l'unité. Je ne vous cache pas que j'ai eu peur pour eux. Storm nous dévoile un aperçu de leur calvaire et vous aurez à coeur de tout faire pour les aider. Ce second tome met la lumière sur le retour, parfois difficile, des militaires à la vie de tous les jours. Chacun revient avec ses traumatismes, ses angoisses, ses doutes et Obrian doit également gérer la blessure de November. Certains pourraient penser que c'est seulement un animal, mais pour lui, c'est sa coéquipière, son soutien en cas de coup dur. D'ailleurs, toute l'escouade connait la plus-value de la Malinoise. Nos militaires vont devoir soigner leurs blessures, exhumer leurs cauchemars, mais la force de cette équipe est qu'elle se serre les coudes et ne laisse personne derrière eux. de plus, Obrian pourrait avoir une raison supplémentaire pour renter à la maison. Si sa rencontre avec Lovely a été assez rapide, cela a suffi pour que la petite soeur de Storm s'invite dans ses pensées. Elle a enfin décidé de suivre son coeur et de faire de sa passion son métier. Avec le soutien de sa famille, elle va tout faire pour décrocher ses premiers contrats en tant que DJ. Si ces soirées vont être occupées, il lui reste un peu de temps pour ses journées et quoi de mieux que de trainer avec un militaire sexy ? Cependant, cette attraction naissante pourrait faire ressortir certains doutes liés à son enfance. Malgré tout, elle est plus que tentée de se laisser aller avec Obrian. Il est prévenant, à l'écoute et lui laisse le temps dont elle a besoin pour faire un deuil qu'elle aurait dû faire depuis un long moment. Bien sûr, j'ai adoré retrouver Laury/Lawson et James qui m'a fendu le coeur (mais je vous laisse découvrir pourquoi). Je m'arrête là, j'ai juste hâte de découvrir le tome 3. Cette histoire est un véritable slow burn où les doutes du passé pourraient être des freins aux histoires du présent.