Cette petite pièce m'a laissé un peu sur ma fin...
Heureusement d'un format court.
On y parle d'amour et de malaise, pour sa contrebasse et pour Sarah, cette soprano dont il est obsédé autant que par son instrument, si gros et pourtant si discret mais indispensable dans l'orchestre...
Un monologue aux questions existentielles du temps qui passe, du travail, de la célébrité, de la place que nous occupons, des défis à relever ou pas...
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