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Critique de florencem
Maintenant que j'ai refermé ce cinquième tome, je me dis que je n'aurais jamais dû le lire… Je l'ai absolument adoré et sachant que Natsuki Takaya n'a pas travaillé sur la série depuis deux ans maintenant, je me dis que j'aurais dû attendre… Il ne me reste plus qu'à croiser les doigts, même si je ne me fais pas trop d'illusion, vu qu'elle travaille sur une pseudo suite de Fruits Basket… Enfin…
J'ai trouvé ce tome cinq dès plus passionnant. Il nous laisse avec encore plus de questions en un sens mais ce qu'il se passe ne peut que me réjouir. La première partie était plutôt amusante. On retrouve Werg et son foutu caractère ce qui engendre des scènes comiques à ne plus savoir qu'en faire. Mais c'est l'une des choses que j'apprécie dans la série. Il y a beaucoup de noirceur mais l'auteur l'équilibre très bien avec de l'humour et des scènes cocasses. Cependant, Werg le terrible nous permet aussi de développer le personnage d'Anna. Et j'avoue que j'adore de plus en plus la jeune fille. Elle est froide, très franche, quelque peu manipulatrice, mais depuis le début, malgré ce masque qu'elle semble porter, je ne peux qu'avoir de la sympathie pour elle. La violence qu'elle couve depuis l'enfance la rend encore plus attachante. Elle ne l'exprime pas vraiment, sauf dans ce tome en ayant des propos plutôt durs, mais il ne fait aucun doute qu'elle a été marquée par ce qu'il s'est passé lorsqu'elle était plus jeune, alors qu'Alto semble moins touché par ses événements. du coup, la gentillesse et la sollicitude dont elle fait preuve envers Liselotte semble encore plus vraie. Nous en apprenons plus, mais en un sens, ce n'est qu'une confirmation de ce que l'on savait déjà. Et étrangement, je me dis qu'un couple Werg/Anna serait absolument génial à développer !
La seconde partie se focalise plus sur la relation d'Engetsu et Liz. La froideur de En depuis sa « réparation » était un peu dérangeante mais en fin de compte, ce n'est pas plus mal. D'une part, parce qu'il semble que ce soit son véritable caractère, qu'il ne « joue » plus au gentil. Et cela ne l'empêche pas de se sentir attiré par Liselotte. Bien au contraire. du coup, la relation qui se forme entre les deux personnages est beaucoup plus vraie que la « première » pour moi. Et puis, j'aime ce contraste. En froid et direct, Liz maladroite et émotive. Les différentes scènes où on les voit tous les deux sont fortes, pleine d'une tendresse cachée. J'espère seulement ne pas espérer pour rien.
La fin par contre est la raison pour laquelle je suis si frustrée. Déjà pour l'arrivée d'un nouveau personnage. Je n'arrive pas à savoir si il est à classer dans les gentils ou les méchants. Je pencherais plutôt pour la deuxième catégorie mais il est difficile de se prononcer. Il me semble aussi qu'il pourrait nous apporter beaucoup de réponses. Ensuite, la rencontre de Engetsu et Richard. Elle soulève à elle seule un tas de questions. Et j'avoue être complètement perdue à cause de certaines choses.
La trame de l'histoire est beaucoup plus claire maintenant même si nous avons encore une foule de questions, et le dosage de l'humour et de la noirceur de l'histoire est toujours un plaisir pour moi. Sans compter les dessins de Natsuki Takaya qui peuvent exprimer tellement de choses sans aucun dialogue. J'espère sincèrement que la série ne tombera pas aux oubliettes car je l'apprécie de plus en plus.
J'ai trouvé ce tome cinq dès plus passionnant. Il nous laisse avec encore plus de questions en un sens mais ce qu'il se passe ne peut que me réjouir. La première partie était plutôt amusante. On retrouve Werg et son foutu caractère ce qui engendre des scènes comiques à ne plus savoir qu'en faire. Mais c'est l'une des choses que j'apprécie dans la série. Il y a beaucoup de noirceur mais l'auteur l'équilibre très bien avec de l'humour et des scènes cocasses. Cependant, Werg le terrible nous permet aussi de développer le personnage d'Anna. Et j'avoue que j'adore de plus en plus la jeune fille. Elle est froide, très franche, quelque peu manipulatrice, mais depuis le début, malgré ce masque qu'elle semble porter, je ne peux qu'avoir de la sympathie pour elle. La violence qu'elle couve depuis l'enfance la rend encore plus attachante. Elle ne l'exprime pas vraiment, sauf dans ce tome en ayant des propos plutôt durs, mais il ne fait aucun doute qu'elle a été marquée par ce qu'il s'est passé lorsqu'elle était plus jeune, alors qu'Alto semble moins touché par ses événements. du coup, la gentillesse et la sollicitude dont elle fait preuve envers Liselotte semble encore plus vraie. Nous en apprenons plus, mais en un sens, ce n'est qu'une confirmation de ce que l'on savait déjà. Et étrangement, je me dis qu'un couple Werg/Anna serait absolument génial à développer !
La seconde partie se focalise plus sur la relation d'Engetsu et Liz. La froideur de En depuis sa « réparation » était un peu dérangeante mais en fin de compte, ce n'est pas plus mal. D'une part, parce qu'il semble que ce soit son véritable caractère, qu'il ne « joue » plus au gentil. Et cela ne l'empêche pas de se sentir attiré par Liselotte. Bien au contraire. du coup, la relation qui se forme entre les deux personnages est beaucoup plus vraie que la « première » pour moi. Et puis, j'aime ce contraste. En froid et direct, Liz maladroite et émotive. Les différentes scènes où on les voit tous les deux sont fortes, pleine d'une tendresse cachée. J'espère seulement ne pas espérer pour rien.
La fin par contre est la raison pour laquelle je suis si frustrée. Déjà pour l'arrivée d'un nouveau personnage. Je n'arrive pas à savoir si il est à classer dans les gentils ou les méchants. Je pencherais plutôt pour la deuxième catégorie mais il est difficile de se prononcer. Il me semble aussi qu'il pourrait nous apporter beaucoup de réponses. Ensuite, la rencontre de Engetsu et Richard. Elle soulève à elle seule un tas de questions. Et j'avoue être complètement perdue à cause de certaines choses.
La trame de l'histoire est beaucoup plus claire maintenant même si nous avons encore une foule de questions, et le dosage de l'humour et de la noirceur de l'histoire est toujours un plaisir pour moi. Sans compter les dessins de Natsuki Takaya qui peuvent exprimer tellement de choses sans aucun dialogue. J'espère sincèrement que la série ne tombera pas aux oubliettes car je l'apprécie de plus en plus.
